02285 am 2200445 n 450 9910496015003321202001292-7574-2738-510.4000/books.septentrion.82821(CKB)5590000000006670(FrMaCLE)OB-septentrion-82821(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/87069(PPN)251072568(EXLCZ)99559000000000667020201123j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||rdacontentrdamediardacarrierMesures de l’ombre Baudelaire, Flaubert, Laforgue et Verne /Philippe BonnefisNouvelle édition identique à celle de 1987.Villeneuve d'Ascq Presses universitaires du Septentrion2020203 pages ;24 cmLettres et artsObjet,0291-7335 ;no 792-7574-0366-4 Includes bibliographical references.Le soleil se couche sur l’histoire de la peinture. Triomphe de l’image que les Salons de Baudelaire, sans doute. Mais c’est un triomphe au sens où l’entendent les baroques, une pompe funèbre. Si une phénoménologie de la perception vient relayer après coup l’oeuvre de Flaubert, s’ouvrir à elle comme l’un de ses débouchés philosophiques, si l’oeuvre de Flaubert de ce point de vue ne demeure pas sans postérité, c’est une fin en revanche que consacre la réflexion esthétique de Baudelaire. Le règne de l’image s’éteint doucement à l’occident de la littérature. L’image s’enténèbre, cependant que monte cette aria, petite phrase plaintive qui naît tout juste où meurt le nom de Charles Baudelaire. L’air de la pourriture, avec ses charognes mélodieuses, et ces cercueils qui chantent comme des boîtes à musique...French literature19th centuryHistory and criticismlittératuremesureombreFrench literatureHistory and criticism.Bonnefis Philippe326765FR-FrMaCLEBOOK9910496015003321Mesures de l'ombre174582UNINA