02430 am 2200433 n 450 9910496014903321202001222-7574-2781-410.4000/books.septentrion.76123(CKB)5590000000004004(FrMaCLE)OB-septentrion-76123(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/87030(PPN)250190931(EXLCZ)99559000000000400420201026j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierLes belles infidèles /Georges MouninVilleneuve d'Ascq Presses universitaires du Septentrion20201 online resource (110 p.) Traductologie2-7574-1153-5 En écrivant Les Belles Infidèles il y a plus de soixante ans, Georges Mounin a voulu proposer, selon ses propres termes, « une défense et illustration de l’art de traduire ». II a su réaliser son projet avec une rigueur de démonstration peu commune, une documentation historique exemplaire et, par-dessus tout, une vision magistrale de la traduction. Non seulement cette vision envisage tous les aspects fondamentaux de la traduction, mais elle réussit à faire converger différents points de vue vers la solution des problèmes: celui du philologue, de l’historien et du linguiste, comme celui des traducteurs eux-memes et celui des théoriciens de la traduction. « Il ne s’agit pas de démontrer que la traduction soit facile, ni toujours à tout coup possible et parfaite du premier coup. Ce serait déjà beau d’avoir combattu cette maladie qui paralyse les traducteurs eux-mémes avant d’avoir commnencé leur tâche : la conviction séculaire qu’ils entreprennent une tâche théoriquement impossible », écrivait l’auteur. Cet ouvrage constitue une réédition d’un grand classique de la traductologie.Translating and interpretinglinguistiquephilologietraductologieTranslating and interpreting.Mounin Georges132397Ballard Michel201177D’hulst Lieven447130FR-FrMaCLEBOOK9910496014903321Les belles infidèles3027928UNINA