02880 am 2200625 n 450 991049600380332120200130979-1-03-510389-710.4000/books.psorbonne.48728(CKB)5590000000429691(FrMaCLE)OB-psorbonne-48728(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/85917(PPN)267969937(EXLCZ)99559000000042969120201209j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierLes États-Unis et l’Unesco, 1944-1963 /Gail ArchibaldParis Éditions de la Sorbonne20201 online resource (380 p.) Internationale2-85944-236-7 Les relations entre les États-Unis et l’Unesco ont toujours été complexes comme le démontre l’étude des 20 premières années de celles-ci. Lors de la création de l’Unesco quelques Américains ont énormément travaillé pour que cette Institution spécialisée des Nations- Unis existe. Leur rôle et leur apport sont ici soigneusement mis en évidence. Or, les premières déceptions arrivent rapidement car, à tort, du côté de Washington, on espérait voir l’Organisation participer efficacement à la lutte contre le communisme. Néanmoins, à la fin des années 1950, l’Unesco connaît un regain de faveur auprès du gouvernement américain. Et si l’hégémonie financière américaine à l’Unesco n’a jamais fait de doute, sa domination politique est mise en cause dès les premières années. Les États-Unis vont quitter l’Unesco en 1984, quand la première génération d’Américains, fondateurs de l’Unesco et fidèles malgré les déceptions a, depuis longtemps, quitté la scène politique. L’auteur a utilisé une documentation inédite et a multiplié les enquêtes orales. Gail ArchibaldHistoryUnescohégémoniedomination politiqueprojet communlenteur législativeplan Marshallnouveau médiaUnescohégémoniedomination politiqueprojet communlenteur législativeplan Marshallnouveau médiaHistoryUnescohégémoniedomination politiqueprojet communlenteur législativeplan Marshallnouveau médiaArchibald Gail1287127FR-FrMaCLEBOOK9910496003803321Les États-Unis et l’Unesco, 1944-19633020030UNINA