02277 am 2200409 n 450 991049598600332120240104030721.02-7574-3116-110.4000/books.septentrion.108835(CKB)4100000011980510(FrMaCLE)OB-septentrion-108835(PPN)257366385(EXLCZ)99410000001198051020210721j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||Huysmans, Moreau, Salomé la fin du « moderne » /Daniel GrojnowskiVilleneuve-d’AscqPresses universitaires du Septentrion20211 online resource (120 p.)2-7574-3076-9 Combattant les peintres académiques des Salons officiels, Huysmans critique d’art s’est posé dans L’Art moderne en promoteur des impressionnistes. La prédilection qu’il affichera dans À rebours pour Gustave Moreau, peintre mythologue, marque sa rupture avec Zola et les siens. Lorsqu’il fait l’éloge d’une esthétique hostile à toute forme de réalisme, il remet en question la notion de « modernité ». Cette posture d’antimoderne fait date, parce qu’elle ouvre aux œuvres les voies de l’imaginaire. En tournant l’écrivain vers ceux qu’il désigne comme « certains », elle inaugure un regard qui s’émancipe. Huysmans en donne un exemple devenu célèbre avec sa libre interprétation des Salomé de Moreau. As an art critic challenging the academic painters of the official Salons, Huysmans positioned himself within Modern Art as a promoter of the Impres-sionists. The partiality for Gustave Moreau, that Huysmans was to display in A Rebours, marks his rupture with Zola and his circle. By turning toward an official painter hostile to any form of realism, he questions the very notion of “modernity”.ArtSalomémodernemodernitéantimoderneArtSalomémodernemodernitéantimoderneGrojnowski Daniel173033FR-FrMaCLEBOOK9910495986003321Huysmans, Moreau, Salomé3657298UNINA