02596nam 2200421zu 450 991049592320332120210807005614.02-8218-2750-410.4000/books.pup.799(CKB)4340000000013177(SSID)ssj0001321428(PQKBManifestationID)12499419(PQKBTitleCode)TC0001321428(PQKBWorkID)11372973(PQKB)11667011(FrMaCLE)OB-pup-799(PPN)18282666X(EXLCZ)99434000000001317720160829d2005 uy freuu||||||m||||txtccrEcritures du Désert: Voyageurs, Romanciers Anglophones, XIXe-XXe Siècles[Place of publication not identified]Publications de l'Universite de Provence20051 online resource (198 p.) Bibliographic Level Mode of Issuance: Monograph2-85399-624-7 L’écriture du désert dans les récits de voyage de R. F. Burton, C. Doughty, G. Bell, T. E. Lawrence et W. Thesiger au xixe et au début du xxe siècle invite au parcours d’un espace géographique et textuel. L’analyse des traces intertextuelles, idéologiques et linguistiques dans le palimpseste du désert met au jour l’écriture totalisante du récit orientaliste, une affiliation culturelle qui remonte à Hérodote et un regard fantasmatique sur l’Autre et l’ailleurs. La quête des origines et du sens réapparaît dans les romans de L. Durrell, Le quatuor d’Alexandrie, Le quintette d’Avignon, dont l’écriture figurale et les métaphores optiques mettent en scène le leurre de la fresque orientaliste et soulignent le simulacre de toute représentation. Dans les romans postmodernes de M. Ondaatje, Le patient anglais et de Coetzee, En attendant les barbares, le désert n’est plus le lieu de la révélation du sens, mais de l’oblitération et de la perte. L’écriture fragmentée, spectrale brouille et évide la représentation d’un espace élusif et nomade qui refuse de se laisser conquérir et renvoie à l’Occidental l’image de son impuissance et de ses illusions.Arabian PeninsulaDescription and travelAnglophone Travel LiteratureDesert19th-20th CenturyCriticismDelmas Catherine1195542PQKBBOOK9910495923203321Ecritures du Désert: Voyageurs, Romanciers Anglophones, XIXe-XXe Siècles2863002UNINA