02852 am 2200577 n 450 9910495755703321202007072-36781-427-910.4000/books.pulm.6023(CKB)4100000011883055(FrMaCLE)OB-pulm-6023(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/86288(PPN)255349521(EXLCZ)99410000001188305520210415j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierRecherches philosophiques sur l’origine des idées que nous avons du Beau et du Sublime Première traduction française (1765) de A Philosophical Enquiry into the Origin of our Ideas of the Sublime and Beautiful /Edmund BurkeMontpellier Presses universitaires de la Méditerranée20201 online resource (222 p.) Collection des littératures2-36781-335-3 En 1757, Edmund Burke publie à Londres A Philosophical Enquiry into the Origin of our Ideas of the Sublime and Beautiful ; une deuxième édition paraît deux ans plus tard. La réflexion développée dans l’ouvrage renouvelait l’idée de sublime et allait profondément marquer l’esthétique. Le succès vint rapidement, suscitant la demande d’une traduction en français. Elle fut réalisée en 1765, à partir de la deuxième édition de l’ouvrage de Burke, par l’abbé Louis-Antoine Des François (1728-v. 1800) qui sut prendre contact avec l’auteur pour recueillir ses avis sur son travail. « Tout ce qui est propre, de quelque façon que ce soit, à exciter des idées de douleur et de danger ‒ je veux dire tout ce qui est, de quelque manière que ce soit, terrible, épouvantable, ce qui ne roule que sur des objets terribles ou ce qui agit de manière à inspirer de la terreur ‒ est une source du sublime, c’est-à-dire qu’il en résulte la plus forte émotion que puisse éprouver l’esprit. »PhilosophyartesthétiquesublimeAngleterreXVIIIe siècleartesthétiquesublimeAngleterreXVIIIe sièclePhilosophyartesthétiquesublimeAngleterreXVIIIe siècleBurke Edmund38256Triaire Dominique1168823Verdier Thierry802136FR-FrMaCLEBOOK9910495755703321Recherches philosophiques sur l’origine des idées que nous avons du Beau et du Sublime3029270UNINA