02803 am 2200601 n 450 9910495701603321201901012-7297-1177-510.4000/books.pul.25593(CKB)4100000009940637(FrMaCLE)OB-pul-25593(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/86257(PPN)241657385(EXLCZ)99410000000994063720191129j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierLa militance LGBT aux États-Unis Sexualité et subjectivité /Guillaume MarcheLyon Presses universitaires de Lyon20191 online resource (304 p.) Sexualités2-7297-0928-2 Dès les années 1960, les mobilisations homosexuelles ont acquis une visibilité considérable, au point que l’une de leurs principales revendications, l’ouverture du mariage aux couples de même sexe, a enfin été satisfaite dans plusieurs pays. Ce qui ne signifie pas pour autant la pleine reconnaissance des droits des personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles et transgenres. Mais qu’en est-il aujourd’hui du cœur des revendications initiales – la sexualité – dans le mouvement LGBT ? Aux États-Unis, depuis les années 1990, la reconnaissance politique des questions portées par les militant.e.s s’est traduite par une professionnalisation du mouvement et non par une mobilisation plus forte de la base. Et l’institutionnalisation de la militance LGBT a coïncidé avec la disparition de la revendication sexuelle. L’étude des dynamiques de mobilisation et de démobilisation proposée ici montre que la place plus ou moins importante de la sexualité dans les objectifs et les formes d’action joue un rôle déterminant dans l’implication des acteurs sociaux.Sociologyhomosexualitébisexualitétransgenremilitantismesociologie des mouvements sociauxsidahomosexualitébisexualitétransgenremilitantismesociologie des mouvements sociauxsidaSociologyhomosexualitébisexualitétransgenremilitantismesociologie des mouvements sociauxsidaMarche Guillaume1189453Wieviorka Michel132598FR-FrMaCLEBOOK9910495701603321La militance LGBT aux États-Unis3040278UNINA