04094 am 2200697 n 450 9910495659003321202011242-35412-375-210.4000/books.pupvd.25117(CKB)4100000011717031(FrMaCLE)OB-pupvd-25117(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/86624(PPN)252940350(EXLCZ)99410000001171703120210115j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierDéclinaisons de la voie Avoiement, dévoiement, fourvoiement /Pascale Amiot, Hélène Guillaume, Paul CarmignaniPerpignan Presses universitaires de Perpignan20201 online resource (250 p.) Études2-914518-84-6 L’ouvrage présente la synthèse de deux années de travaux menés par les membres du VECT-Mare Nostrum (“Voyages, Échanges, Confrontations, Transformations”), groupe de recherche pluridisciplinaire de l’Université de Perpignan-Via Domitia. Reliant les domaines de l’imaginaire, de la littérature et de l’épistémologie, les treize études réunies ici confrontent les réflexions de spécialistes de divers domaines (lettres classiques, lettres modernes, études médiévales, philosophie, études anglo-américaines, études irlandaises) sur le thème de la voie et de ses aléas, sous la triple forme de l’avoiement (la mise en route), de dévoiement (le fait de changer de voie, de s’écarter de l’itinéraire) et du fourvoiement (le fait de quitter toute voie). L’ouvrage s’ouvre sur une prise de repères qui place les usages de l’image de la voie dans une perspective épistémologique et souligne le biais « spatialisant » des habitudes de pensée dominantes, de tradition aristotélicienne. Elle présente trois types de conceptions de la voie, respectivement attachées aux traditions aristotélo-thomiste (la voie selon sa fin), épicurienne (la voie selon son origine) et à la pensée chinoise pré-bouddhiste, dans laquelle la voie ne se définit ni selon un début ni selon une fin mais ne se comprend qu’en fonction du trajet lui-même. Ainsi, de manière largement diachronique, l’analyse de diverses conceptions et modalités de la voie et du voyage opère une mise en perspective philosophique, historique et littéraire nouvelle et donne à percevoir des dimensions subtiles du triptyque de l’avoiement, du dévoiement et du fourvoiement depuis l’antiquité. Épicure et Lucrèce posaient la déclinaison comme source de toute création : dans l’évolution de son imaginaire et par le déplacement des valeurs de l’avoiement, du dévoiement et du fourvoiement, la littérature occidentale a su donner toute sa place à ce principe vital.Literature (General)poésievoyagelittératurequêtepoésievoyagelittératurequêteLiterature (General)poésievoyagelittératurequêteAdroher Michel1281587Amiot Pascale1317532Bretel Paul184595Carmignani P1317533Colin Claude1317534Combes Isabelle1237352Fille Nadine1314331Guillaume Hélène1283496Haffner Françoise1281601Majorel Florence1317535Pollock Jonathan1281830Solomon Nathalie1283488Thomas Joël385316Amiot Pascale1317532Guillaume Hélène1283496Carmignani Paul1233763FR-FrMaCLEBOOK9910495659003321Déclinaisons de la voie3032993UNINA