02461 am 2200541 n 450 9910418041003321202001272-37924-108-210.4000/books.puv.6011(CKB)4100000011301781(FrMaCLE)OB-puv-6011(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/47732(PPN)248498282(EXLCZ)99410000001130178120200616j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierFlaubert. Voix de masque /Juliette FrølichSaint-Denis Presses universitaires de Vincennes20201 online resource (144 p.) 2-84292-163-1 Flaubert met à l’épreuve dans sa prose, dès ses premiers écrits, une voix qui rivalise avec le silence et l’éclat des choses. Et chaque œuvre, Madame Bovary, Salammbô, L’Éducation sentimentale, module intensément cette présence qui « raconte ». La « Voix » narrative parle : dans le rythme de la prose, dans la typographie, jusque dans les blancs. C’est à l’écoute de cette Voix que s’attache la lecture intime, attentive, que propose Juliette Frølich, pour rendre intelligible l’émotion profonde qui passe dans « l’impassibilité » revendiquée, et la protestation mate qui couve sous la parole de masque du narrateur. Voile et voix, du cri à la « voix blanche » : écouter la prose de Flaubert, c’est accueillir ce qui se plie dans l’écriture, c’est voir dans la typographie elle-même, rythmes, espaces, effets de résolution, « grands blancs barbares », le passage de la Voix qui conte... jusqu’à sa résorption, avec Trois Contes, dans la béance et le silence.Literature, RomanceécriturelittératurevoixmanuscritproseproseécriturelittératurevoixmanuscritLiterature, RomanceécriturelittératurevoixmanuscritproseFrølich Juliette1302909FR-FrMaCLEBOOK9910418041003321Flaubert. Voix de masque3026710UNINA