04811 am 2200877 n 450 9910417788903321202111242-7283-1341-510.4000/books.efr.35687(CKB)5310000000009128(FrMaCLE)OB-efr-35687(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/85229(PPN)263750906(EXLCZ)99531000000000912820220608j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierFrançois Ier et l’espace politique italien États, domaines et territoires /Juan-Carlos D’Amico, Jean-Louis FournelRome Publications de l’École française de Rome20211 online resource (512 p.)Collection de l'École française de Rome2-7283-1340-7 Ce volume rassemble une série de contributions qui ont en commun d’aborder un vieux sujet - le tropisme italien de François Ier - d’une façon originale, dans la mesure où y sont discutées les formes que prirent les relations entre Royaume de France et péninsule italienne à partir d’une perspective italienne. Ce qui est au cœur de l’analyse, ce sont donc moins ici les ambitions du souverain français que la nécessaire adaptation de celles-ci à une réalité italienne complexe et polymorphe. Il s’agit de rendre compte de l’entrelacs de situations juridiques et territoriales aussi diverses qu’anciennes, bouleversées, qui plus est, par des guerres incessantes qui leur confèrent une certaine fragilité. Les guerres modernes, marquées par une intensité, une rapidité et une violence inédites, frappent les contemporains et les obligent à repenser les relations entre petites et grandes puissances au nom des rapports de forces, chacune ayant sa place dans un équilibre international chancelant où la péninsule italienne est alors le premier champ clos de la rivalité entre Valois et Habsbourg. Tour à tour, la Lombardie, la Vénétie, la Savoie, la Ligurie, la Toscane, le Duché d’Urbino, les États de l’Église, le Royaume de Naples comme celui de Sicile deviennent ainsi autant de cas permettant de rendre compte de l’incessante adaptation d’une politique française qui doit évoluer au rythme des défaites militaires successives de l’armée royale. En définitive, c’est moins l’expulsion des Français d’Italie et le renoncement à leurs prétentions outremonts qui sont le sujet de ce livre collectif que la capacité toujours renouvelée du Roi à inventer une nouvelle forme de « politique italienne », au gré de la changeante « qualité des temps » (Machiavel) et de celles des États.François Ier et l’espace politique italienFrançois Ier et l’espace politique italienFrançois Ier et l'espace politique italienPolitical ScienceFranceItalierelationFrançois 1erFranceRelationsItalyCongressesItalyRelationsFranceCongressesItalyHistory1492-1559CongressesFranceItalierelationFrançois 1erPolitical ScienceFranceItalierelationFrançois 1erAlazard Florence1295032Caldarella Allaire Valeria1311093Carlos d’Amico Juan1311094Carlo Giannini Massimo1311095Di Tullio Matteo1311096Duc Séverin1311097Dumont Jonathan1283671Fois Luca1310248Fournel Jean-Louis164285José Rodríguez Salgado Maria1311098Leroy Du Cardonnoy Éric1293476M. Rabà Michele1311099Merle Alexandra749050Meschini Stefano537807Michon Cédric1282534Pacini Arturo261706Procaccioli Paolo162694Rivero-Rodríguez Manuel473150Rizzo Mario140458Shaw Christine500264Simonetta Marcello476751Tallon Alain162562Vanni Andrea473152D’Amico Juan-Carlos500300Fournel Jean-Louis164285FR-FrMaCLEBOOK9910417788903321François Ier et l’espace politique italien3030013UNINA