04182 am 2200625 n 450 9910416462903321202001292-8107-0986-610.4000/books.pumi.40043(CKB)5590000000001646(FrMaCLE)OB-pumi-40043(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/54671(PPN)249720469(EXLCZ)99559000000000164620200901j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierNicolas Tournier Et la peinture caravagesque en Italie, en France et en Espagne /Pascal-François BertrandToulouse Presses universitaires du Midi20201 online resource (256 p.) 2-912025-11-7 Nicolas Tournier est un des peintres dont le nom est indissociable de la ville de Toulouse, où il a exercé son métier durant les années 1630. Originaire de Franche-Comté, il a séjourné à Rome dans les années 1620, puis s’est établi en Languedoc, à Narbonne, Carcassonne et Toulouse. Durant les douze dernières années de sa vie, il y a exécuté des tableaux sur lesquels les historiens d’art se sont appuyés pour reconstituer son œuvre peint. « Redécouvert » par Charles Sterling (1934), qui avait révélé ce que l’on pensait alors être la production languedocienne de Tournier (c’est-à-dire trois tableaux), ce sui­veur de Caravage est un peintre dont la vie et la carrière reposent sur de rares documents. Les travaux entrepris, ceux de R. Longhi en premier, ont eu pour principal objectif d’établir le catalogue de ses tableaux (une quarantaine de toiles aujourd’hui), aboutissant à un résultat para­doxal : un œuvre italien conséquent, qui repose entièrement sur l’attribution ; un œuvre languedocien qui a peu évolué. Or, chacun sait que toute étude mono­graphique, aussi utile soit-elle, atteint les limites de l’exercice même qui tend à enfermer le peintre dans sa vie et son œuvre. À l’occasion de la première expo­sition rétrospective du peintre présentée au Musée des Augustins, il a paru opportun de proposer une approche complémentaire à la reconstitution de l’œuvre qui touche à des problématiques plus larges qui se posent aujourd’hui à l’historien d’art : replacer Tournier et sa peinture dans le cadre du mouvement international du caravagisme, reprenant ainsi le débat précédemment engagé sur le sujet, dans le cadre de la peinture en Europe du premier XVIIe siècle. On a donc privilégié deux axes : premièrement, Tournier et l’Italie, car le peintre y a séjourné au moins sept ou huit ans, de 1619 à 1626 si l’on se réfère aux Stati d’anime ; deuxièmement, la diffusion du caravagisme : en France car Tournier, qui travaille en Languedoc, est un des principaux acteurs de la diffusion…Painting, European17th centuryCongressesartpeinturePainting, EuropeanArlot Emmanuelle1303249Augé Jean-Louis1303250Bertrand Pascal-François1303248Bonfait Olivier267373Curie Pierre361635E. Pérez Sanchez Alfonso1303251Fauré Jean-Jacques1303252Hémery Axel1303253Imbert Christophe1291153Jouffroy Christian1303254Jouve Claudine Lebrun1303255Lemoine Annick1303256Milhau Denis1303257Papi Gianni169233Saunier Bruno781985Serres Karen1303258Stuccilli Jean-Christophe1303259Trouvé Stéphanie1235175Valdivieso Enrique724300Vertova Luisa37483Bertrand Pascal-François1303248FR-FrMaCLEBOOK9910416462903321Nicolas Tournier3026875UNINA