03733 am 2200757 n 450 9910353340903321201909162-271-13032-810.4000/books.editionscnrs.28809(CKB)4100000009913993(FrMaCLE)OB-editionscnrs-28809(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/48989(PPN)24165677X(EXLCZ)99410000000991399320191128j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierLa guerre froide et l'internationalisation des sciences Acteurs, réseaux et institutions /Corine Defrance, Anne KwaschikParis CNRS Éditions20191 online resource (196 p.) 2-271-08994-8 Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le processus d'internationalisation de la science s'accélère et le projet - déjà ancien - d'établir « un espace européen de la recherche » se précise. La science fait débat et désigne désormais, dans une conception qui s'élargit, un ensemble de systèmes de savoirs, de pratiques et de dispositifs institutionnels. Le contexte de la guerre froide et les pratiques et échanges scientifiques interagissent. La guerre froide entraîne des reconfigurations, entre les États-Unis et l'Europe notamment, sans stopper les circulations entre les blocs rivaux. Trois questions principales traversent cet ouvrage qui s'inscrit dans le champ des « Cold War Studies » : quelle est la place du chercheur dans le réseau des institutions scientifiques, des structures politiques et des flux financiers ? Comment les réseaux scientifiques se mettent-ils en place à l'intersection de la science et de la politique ? Quelles sont les modalités des circulations, transferts et échanges entre les différentes cultures scientifiques ?ScienceInternational cooperationHistory20th centurySciencePolitical aspectsHistory20th centuryKnowledge, Sociology ofHistory20th centuryScience and stateHistory20th centuryCold WarSocial aspectsScience and statefast(OCoLC)fst01108536ScienceInternational cooperationfast(OCoLC)fst01108297WarInfluencefast(OCoLC)fst01170343Seconde Guerre mondialepolitiqueCold War Studiesespace européenréseau scientifiquehistoire des sciencesculture scientifiqueGuerre froideScienceInternational cooperationHistorySciencePolitical aspectsHistoryKnowledge, Sociology ofHistoryScience and stateHistoryCold WarSocial aspects.Science and state.ScienceInternational cooperation.WarInfluence.509Blay Michel44952Defrance Corine1297955Faure Justine1316470Faure Romain1316471Guthleben Denis1316472Krige John61921Kwaschik Anne1313685Mitzner Veera932056Tournès Ludovic1290302Defrance Corine1297955Kwaschik Anne1313685FR-FrMaCLEBOOK9910353340903321La guerre froide et l'internationalisation des sciences3032686UNINA03260 am 2200385 n 450 991049579160332120240104030432.02-7535-6165-610.4000/books.pur.75464(CKB)4100000008710918(FrMaCLE)OB-pur-75464(PPN)26795834X(EXLCZ)99410000000871091820190710j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||L’ombre d’un douteLe cinéma américain contemporain et ses trompe-l’œilAurélie LedouxRennesPresses universitaires de Rennes20181 online resource (238 p.) 2-7535-1818-1 Nombre de films contemporains – aux rangs desquels on compte aussi bien des « auteurs indépendants » que des réalisateurs de blockbusters – jouent sur la perméabilité des frontières entre la réalité et l’illusion en construisant des pièges perceptifs qu’il conviendrait de nommer des trompe-l’œil cinématographiques : un renversement des apparences révèle au spectateur que ce qu’il croyait relever de la réalité du film n’était qu’imaginaire ou fantasmatique, le produit d’un rêve ou d’une folie. Si le procédé est nouveau, ce n’est certes pas en ce que le leurre serait étranger à la tradition cinématographique : le cinéma américain regorge de personnages abusés. Ce classique renversement des apparences prendrait cependant une figure nouvelle en transposant sur le plan visuel cet enjeu narratif et en s’adressant désormais moins au personnage qu’au spectateur. Le film ne se contenterait plus d’être le récit d’une duperie ou d’un complot reposant sur la part d’ignorance à laquelle le héros, comme toute subjectivité, est condamné, mais il y aurait dans ces nouveaux trompe-l’œil comme une démonstration par l’effet qui implique notre rapport à l’image et à ses puissances. Le film, comme le texte, est selon le mot d’Umberto Eco une « machine présuppositionnelle » : sa mécanique inclut son sort interprétatif. Si tous les films reposent donc sur une stratégie qui implique d’anticiper les attentes du spectateur, les trompe-l’œil cinématographiques formulent plus explicitement que les autres sa place et ses croyances. Ils sont en cela analogues à un regard-caméra : le moment de la désillusion est celui où le film se tourne vers le spectateur et indique le lieu où il le situe. Ce que nous révèle un cinéma du trompe-l’œil, c’est d’abord la manière dont il nous voit. Ainsi, à rebours de leur apparence critique ou de leur volonté de divertir, ces films tiennent un discours fondé paradoxalement sur la valeur du réel. Conformément à l’effet pervers d’un doute insuffisamment radical,…Film Radio Televisioncinémacinéma américaincinéma et réalitéFilm Radio Televisioncinémacinéma américaincinéma et réalitéLedoux Aurélie1332446FR-FrMaCLEBOOK9910495791603321L’ombre d’un doute3657330UNINA