01052nam0 22002653i 450 VAN008424620151211124845.15388-16-40545-720110614d2001 |0itac50 baitaITAIT|||| |||||Categorie e forme nella storia delle religioniEnrico MontanariMilanoJaka Book2001189 p.ill.23 cm.001VAN00040452001 Di fronte e attraverso210 MilanoJaca book.545MilanoVANL000284MontanariEnrico1942- VANV068399187436Jaca bookVANV107918650ITSOL20230616RICABIBLIOTECA DEL DIPARTIMENTO DI LETTERE E BENI CULTURALIIT-CE0103VAN07VAN0084246BIBLIOTECA DEL DIPARTIMENTO DI LETTERE E BENI CULTURALI07CONS Fb 1477 07 20039 20110614 Categorie e forme nella storia delle religioni1417094UNICAMPANIA03171 am 2200805 n 450 9910348257603321201812052-7297-1049-310.4000/books.pul.11127(CKB)4100000009763151(FrMaCLE)OB-pul-11127(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/41211(PPN)241654491(EXLCZ)99410000000976315120210809j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierArchitecture et nature Contribution à une anthropologie du patrimoine /François Laplantine, Jean-Baptiste MartinLyon Presses universitaires de Lyon20181 online resource (232 p.) 2-7297-0557-0 Pourquoi lorsque l'on parle de la nature en France et au Brésil, nous ne parlons pas tout à fait de la même chose ? En quoi la notion même de paysage n'a jamais la neutralité qu'on lui attribue, mais s'inscrit dans des rapports de pouvoir ? Pourquoi l'architecture et l'urbanisme, comme l'anthropologie, qui sont des pensées de l'espace, renvoient-ils sans cesse au temps et à l'histoire? Ce sont quelques-unes des questions posées par des architectes, des anthropologues, des sociologues français et brésiliens réunis pendant deux jours au Centre Thomas More dans le couvent construit par Le Corbusier. Le fil conducteur de cet ouvrage est une réflexion sur le patrimoine en tant que nature reconsidérée et passé recomposé, permettant de penser ensemble la nature et cette forme de culture qu'est l'architecture.ArchitectureEnvironmental StudiesarchitecturenaturepatrimoinepaysageécologieurbanismeFranceBrésilécologieurbanismenaturepaysagepatrimoinearchitectureArchitectureEnvironmental StudiesarchitecturenaturepatrimoinepaysageécologieurbanismeFranceBrésilBarros Lidia1283764Cavalcanti Roberto1283765Cerclet Denis1281552Filiod Jean Paul1283766Fritsch Philippe1283767Herbert Jean-Loup123824Laplantine François427029Martin Jean-Baptiste144076Perret Yves1283768Pinheiro Villar de Queiroz Claudio José1283769Pordeus Ismael1283770Tomas François1281893Laplantine François427029Martin Jean-Baptiste144076FR-FrMaCLEBOOK9910348257603321Architecture et nature3019187UNINA03910 am 2200697 n 450 9910597169703321202207132-7535-8885-610.4000/books.pur.171867(CKB)4100000012897056(FrMaCLE)OB-pur-171867(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/95244(PPN)267963424(EXLCZ)99410000001289705620221013j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierEmpreintes rouges Nouvelles perspectives pour l’histoire du communisme français /Dimitri Manessis, Guillaume Roubaud-QuashieRennes Presses universitaires de Rennes20221 online resource (240 p.)Histoire2-7535-7548-7 Le point de départ est ici formé par les empreintes laissées par la mouvance communiste sur la société française, forgeant une culture populaire, capable à la fois d’intégrer – pour une part – exclus et marginaux, de faire pleine place politique à la classe ouvrière – et, au-delà, à tout un petit peuple des villes et des campagnes –, d’associer nombre d’artistes et d’intellectuels et de rassembler ces acteurs politiques singuliers dans des structures, des mouvements, des projets. Mais si le communisme a laissé des empreintes sur la société, c’est aussi parce qu’il a été investi par des acteurs sociaux qui l’ont identifié comme vecteur et support possible d’une politique populaire. L’empreinte communiste se fait ainsi, nécessairement, double : la spécificité du « parti de type nouveau » dialogue avec des héritages et des aspirations populaires tantôt intégrés, accolés, métamorphosés ou dépassés dans ces rencontres. Elle est aussi polymorphe, en ce qu’elle mêle tout autant des thèses identifiées comme politiques que des répertoires d’action, des symboles que des méthodes, des idées, des pratiques et des affects. Elle constitue enfin un objet qui fait problème, en ce que son spectre court de l’immédiatement identifié – voire revendiqué – jusqu’au labile, l’oublié, le nié. C’est une « nouvelle histoire » du communisme en train de se faire que propose cet ouvrage. Parallèlement, l’éclairage d’archivistes donne à voir une partie des nouveaux possibles en matière de sources.HistoryHistoire contemporaineHistoire politique de la France au XXe sièclecommunismeHistoire contemporaineHistoire politique de la France au XXe sièclecommunismeHistoryHistoire contemporaineHistoire politique de la France au XXe sièclecommunismeBenedetti Andrea1347469Bénézech Fabien1347470Boichu Pierre1347471Challéat-Fonck Violaine1312370Crézégut Anthony1347472Demange Julie1347473Dreure Éloïse1347474Grossman Vanessa1347475Grumberg Zoé1347476Jolly Haramila1347477Krieger Pierre1347478Lahu Corentin1321078Manessis Dimitri1347479Roubaud-Quashie Guillaume1347480Sill Édouard1321085Vaccaro Rossana1347481Vigreux Jean1292702Manessis Dimitri1347479Roubaud-Quashie Guillaume1347480FR-FrMaCLEBOOK9910597169703321Empreintes rouges3083765UNINA