02579 am 2200625 n 450 9910341849603321201905212-35768-079-210.4000/books.eua.1528(CKB)4100000009382695(FrMaCLE)OB-eua-1528(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/58760(PPN)240757610(EXLCZ)99410000000938269520191001j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierSacré souffle. Poésie, théâtre, politique /Christian SchiarettiAvignon Éditions Universitaires d’Avignon20191 online resource (84 p.) 2-35768-049-0 « Pour avoir le souffle de Claudel, il faut s’entraîner. Dans un seul verset, pour conserver un souffle qui tient l’unité de sens du vers du début à la fin, il faut avoir une maîtrise, une connaissance, une sagesse de son rapport au vers, très profondes. » Pour Christian Schiaretti, il ne s’agit pas seulement d’éduquer le comédien à la beauté de la scansion et du souffle, mais aussi d’affiner l’oreille du spectateur à l’élégance d’une belle formulation. La langue et son usage sont au cœur de son travail et il l’a prouvé en installant les Langagières dans le paysage poétique de Reims. Avec Mai, juin, juillet et son mélange générationnel, qu’il considère comme fondamental, Christian Schiaretti lie (par leur parcours similaire), et oppose (par leur positionnement tant politique que théâtral), Barrault et Vilar.Theaterscansionsoufflelangueexpression artistiquepoésieverspoésiesouffleversscansionlangueexpression artistiqueTheaterscansionsoufflelangueexpression artistiquepoésieversSchiaretti Christian1286058Adler Laure442746Ethis Emmanuel1286053Py Olivier1022053Schiaretti Christian1286058FR-FrMaCLEBOOK9910341849603321Sacré souffle. Poésie, théâtre, politique3019703UNINA