04701 am 2200865 n 450 9910340851603321201906072-7535-6811-110.4000/books.pur.109865(CKB)4100000009276965(FrMaCLE)OB-pur-109865(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/46935(PPN)238689301(EXLCZ)99410000000927696520190913j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierL'État et l'enseignement privé L'application de la loi Debré (1959) /Bruno PoucetRennes Presses universitaires de Rennes20191 online resource (368 p.) 2-7535-1429-1 Il y a cinquante ans était votée, dans des circonstances difficiles, la loi dite « Debré » qui régit encore les rapports entre les établissements d'enseignement privés et l'État. Un bilan de l'application de cette loi fondatrice à tous égards s'imposait, réalisé par des chercheurs en sciences de l'éducation, droit, histoire et sociologie, mais également grâce à des témoins et des acteurs ayant eu ou ayant des responsabilités au plus haut niveau dans le déroulement des évènements. Quatre moments ordonnent le contenu de cet ouvrage : un bilan historique confronté à la mémoire de grands témoins des évènements depuis le vote de la loi Debré jusqu'à l'échec de sa transformation par la loi Savary ; un bilan centré sur la question très sensible du statut des maîtres contractuels : caractère propre, rapport aux congrégations, gestion et formation initiale et continue des enseignants ; un bilan sur l'espace occupé par les établissements privés sur le territoire français : sociologie des élèves, choix des parents, rapports aux questions économiques et développement d'un secteur marchand aux frontières de l'école sous le regard croisé des acteurs que sont les parents d'élèves ; et un bilan enfin sur l'identité même des établissements privés : établissements juifs, musulmans, nouvelles écoles catholiques, rapport au marché et au service public. Cinquante après la loi Debré où en sommes-nous ? Cet ouvrage tente d'y répondre et de dresser un bilan aussi nuancé et rigoureux que possible de l'application d'une loi qui a fait débat et continue à le faire parce qu'elle se prête à de multiples interprétations. La loi Debré participe-t-elle de cette « composition française » dont parle Mona Ozouf ou au contraire a-t-elle dressé une barrière entre des cultures éducatives différentes ? Rapprochement et séparation constituent bien le paradoxe actuel des établissements privés par rapport aux établissements publics.Historyécolehistoire de l'éducationpolitiques publiqueséducationenseignementenseignementpolitiques publiqueséducationhistoire de l'éducationécoleHistoryécolehistoire de l'éducationpolitiques publiqueséducationenseignementAllain Christine1325801Avanzini Guy482899Battut Jean1248649Blandin André371877Cohen Martine1299462Costa Sylvie Da1325802Delahaye Jean-Paul54822Fontaine Nicole235567Froissart Tony1285679Gasol Jean1325803Georges Yves1325804Glasman Dominique1241043Lalouette Jacqueline1286147Langouet Gabriel525857Lazzarotti Olivier680273Lelievre Claude1325805Mexandeau Louis212459Perrin Luc537430Poucet Bruno1283605Prost Antoine173341Robert André D1295814Toulemonde Bernard1289952Tournemire Pierre1314962Vandermeersch Edmond1325806Verneuil Yves1295817Vrand Philippe1325807Zanten Agnès van1288595Poucet Bruno1283605FR-FrMaCLEBOOK9910340851603321L'État et l'enseignement privé3037048UNINA