04558 am 2200781 n 450 991032815590332120190520979-1-03-510197-810.4000/books.psorbonne.23225(CKB)4100000008496684(FrMaCLE)OB-psorbonne-23225(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/53925(PPN)267930771(EXLCZ)99410000000849668420190621j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierMontagnes médiévales XXXIVe Congrès de la SHMES (Chambéry, 23-25 mai 2003) /Société des historiens médiévistes de l’Enseignement supérieur publicParis Éditions de la Sorbonne20191 online resource (450 p.) 2-85944-513-7 Peuplées de diables ou de sorciers, lieux de mille dangers, les montagnes constituent, au Moyen Âge, l'espace d'une altérité effrayante. Elles sont pourtant fréquemment traversées par les marchands et les pèlerins qui, par leurs voyages réguliers, démentent cet imaginaire de la montagne et prouvent qu'elle n'est en rien une barrière : l'amélioration de la circulation intramontagnarde, particulièrement dans les Alpes, est un apport fondamental de la période médiévale. Mais si la montagne est avant tout un espace vécu, les historiens s'interrogent sur les spécificités des sociétés qu'elle abrite. Une autre image vient alors à l'esprit : celle de Guillaume Tell, champion d'une communauté montagnarde qui résisterait, en tant que telle, à tout contrôle politique. Au-delà de la variété des cas étudiés, les actes du XXXIVe Congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public, réunis à Chambéry en mai 2003, proposent une réflexion d'ensemble sur les interactions de l'homme et du milieu montagnard au Moyen Âge et sur l'intégration du milieu dans le système de représentation des sociétés médiévales. La matière y est répartie en quatre thèmes principaux : la montagne traversée, la montagne gouvernée, la montagne vécue, la montagne imaginaire. Tandis que les géographes s'interrogent sur le concept même de montagne, les historiens médiévistes mettent à profit cette incertitude méthodologique pour questionner les spécificités des « sociétés de montagne ». L'émergence d'un ensemble de communautés plus ou moins autonomes constitue certes l'un des héritages majeurs de la période médiévale. Toutefois, ces communautés montagnardes ne vivent pas repliées sur elles-mêmes. Elles sont partie prenante d'un jeu complexe de pouvoirs qui les met aux prises avec les seigneurs locaux, laïcs ou ecclésiastiques, les villes parfois, et le prince territorial.HistoryMedieval & Renaissance Studiescivilisation médiévalemontagnardécologie humainemontagneécologie humainecivilisation médiévalemontagnardmontagneHistoryMedieval & Renaissance Studiescivilisation médiévalemontagnardécologie humainemontagneBischoff Georges1310683Carrier Nicolas995519Coativy Yves1291315Comet Georges470190Cursente Benoît1288062Deluz Christiane186939Denjean Claude738033Foronda François984516Fray Jean-Luc1301283Jan Régine Le1301284Johans Emmanuel1293781Kammerer Odile1290429Lecuppre Gilles627625Lemonde Anne1284363Leoni Simona Boscani1294910Lucken Christopher282762Mouthon Fabrice1294647Pinto Anthony1319191Racine Pierre241506Sabaté Flocel682622Viader Roland778463Société des historiens médiévistes de l’Enseignement supérieur public1284359FR-FrMaCLEBOOK9910328155903321Montagnes médiévales3033668UNINA