00855nam0-22003011i-450-99000788413040332120040513101137.00-85199-541-1000788413FED01000788413(Aleph)000788413FED0100078841320040513d2003----km-y0itay50------baengUSa---a---001yyService quality in Leisure and tourismChristine Williams, John BuswellCambridgeCABI publishing2003IX, 230 p.24 cmWilliams,Christine<1951- >282868Buswell,JohnITUNINARICAUNIMARCBK9900078841304033210-3-299-TI8300ECAECAService quality in Leisure and tourism669242UNINA03117 am 2200469 n 450 9910324953603321201604202-84310-349-510.4000/books.ugaeditions.118(CKB)3710000001633502(FrMaCLE)OB-ugaeditions-118(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/63042(PPN)202672603(EXLCZ)99371000000163350220170523j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrier« Un Franc parmy les Arabes » Parcours oriental et découverte de l’autre chez le chevalier d’Arvieux /Vanezia ParleaGrenoble UGA Éditions20161 online resource (298 p.) 2-84310-309-6 Au XVIIe siècle, l’intérêt de l’Europe, et de la France en particulier, pour le reste du monde, va croissant. Mus par des motivations d’ordre commercial, diplomatique, savant, religieux ou autres, les voyageurs français, pour lesquels l’Autre privilégié reste à l’époque l’Oriental, projettent bien souvent sur l’Empire ottoman leurs préjugés ethnocentriques, ce qui n’empêche pas qu’ils manifestent aussi une véritable curiosité à l’égard de l’Orient. C’est précisément l’ampleur et la portée de ce désir de découverte de l’Autre que le présent ouvrage interroge – selon une enquête menée dans une perspective interdisciplinaire, au croisement de l’histoire littéraire, de l’histoire des représentations et de l’anthropologie culturelle –, à partir des Mémoires (publiés de manière posthume en 1735) d’un voyageur de l’Âge classique, le chevalier d’Arvieux, qui fut pendant plusieurs années consul en Syrie. Tout en restant, à bien des égards, un homme de son temps, ce nomade par vocation, issu d’une famille marseillaise, fait preuve d’une compréhension extrêmement nuancée de la diversité de l’univers ottoman, grâce à sa maîtrise des langues orientales ainsi qu’à l’ampleur de ses échanges. Le texte foisonne de portraits très individualisés, ainsi que de récits relatant les rencontres de l’auteur avec des Turcs et des Arabes, ou encore avec les Levantins de Smyrne. Son séjour chez les Bédouins du mont Carmel, pour lesquels il manifeste une véritable empathie, apparaît tout à la fois comme un témoignage ethnographique précoce sur les populations nomades et comme une réussite interculturelle exemplaire.Historychevaleriehistoirelittérature médiévalelittérature médiévalehistoirechevalerieHistorychevaleriehistoirelittérature médiévaleParlea Vanezia1304815FR-FrMaCLEBOOK9910324953603321« Un Franc parmy les Arabes »3027750UNINA