01116nam0 22003131i 450 UON0044337020231205105000.17086-8133-701-720140827d1988 |0itac50 basrpRS|||| 1||||Njegospjesnik, vladar, vladikaMilovan Dilas1. jugoslovensko izd BeogradLjubljanaZodne1988607 p.21 cm.Valore stimatoIT-UONSI SERBOCROATOA/2398PETROVIĆ NJEGOŠ PETAR 2.UONC050499FIRSBelgradoUONL001000SILubianaUONL002905891.82Letteratura serbo-croata21DILASMilovanUONV142343540837ZodneUONV281288650ITSOL20250620RICASIBA - SISTEMA BIBLIOTECARIO DI ATENEOUONSIUON00443370SIBA - SISTEMA BIBLIOTECARIO DI ATENEOSI CROATO A 2398 SI 11078 7 2398 Valore stimatoNjegos1327304UNIOR03112oam 2200697 a 450 991031765510332120250709210247.0979103510266110.4000/books.psorbonne.18558(CKB)4100000007938209(FrMaCLE)OB-psorbonne-18558(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/45471(PPN)267969414(FR-PaCSA)88924638(FRCYB88924638)88924638(oapen)doab45471(EXLCZ)99410000000793820920190412j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierDroit et éthique chez Kant L’idée d’une destination communautaire de l’existence /Adelino BrazParis Éditions de la Sorbonne20191 online resource (356 p.)9782859445324 2859445323 Au sein de la Métaphysique des mœurs publiée en 1797, l’impératif catégorique kantien se présente comme le fondement commun au droit et à l’éthique, comme lois de liberté. Kant considère alors le droit comme un concept moral et construit une autonomie de la volonté générale. Afin de dépasser l’hétérogénéité qui existe entre ces lois morales, dans la relation de la loi à la volonté, il est alors nécessaire de penser la relation entre droit et éthique comme un passage téléologique. Dans ce procédé qui s’inscrit dans l’histoire comme lieu de réalisation des dispositions originelles, le droit se révèle alors comme moyen de son propre dépassement, dans la mesure où il conduit la communauté humaine à sortir de l’état de nature et à entrer dans un état civil, afin de tendre vers sa destination finale qui réside dans un état éthique. Ainsi, chaque individu, au sein de la communauté éthico-civile, ne vivra plus sous des lois de contrainte mais bien sous des lois de vertu. Il s’ensuit que la pensée morale de Kant ne doit plus être lue selon la perspective d’un monologisme, mais au contraire dans l’horizon d’une communauté humaine universelle.Philosophyéthiquedroituniverselloiimpératif catégoriqueétat de naturehumanitécommunautéuniverselétat de naturecommunautéloidroitéthiqueimpératif catégoriquehumanitéPhilosophyéthiquedroituniverselloiimpératif catégoriqueétat de naturehumanitécommunautéBraz Adelino1355033FR-FrMaCLEBOOK9910317655103321Droit et éthique chez Kant3359066UNINA