02728 am 2200529 n 450 9910306649703321201808142-35613-303-810.4000/books.ausonius.4514(CKB)4100000007522698(FrMaCLE)OB-ausonius-4514(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/55734(PPN)234054875(EXLCZ)99410000000752269820190408j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierLes partisans d’Antoine /Marie-Claire FerrièsPessac Ausonius Éditions20181 online resource (565 p.) 2-910023-83-4 Antoine devint, dès l'Antiquité, une figure de morale et de rhétorique, considérée indépendamment de son époque et de son entourage. Mais, dans la société aristocratique de Rome, dans la Ville et dans un État devenu la proie des factions, Antoine n'eût pas réussi par ses seuls talents. Suivre, dans la mesure du possible, les destinées individuelles de ceux qui épousèrent, au moins quelques temps, la cause d'Antoine, permet de reconstituer un large pan de cette période décisive. Né au lendemain de la mort de César, ce parti recruta d'abord des Césariens puis, au fil des ans, sa composition se modifia ; le ralliement à Antoine permit à une majorité de Républicains et de Pompéiens d'opérer un retour dans la vie publique. La rupture entre les triumvirs et la déclaration de guerre à l'Égypte mit les partisans d'Antoine dans une situation délicate : fallait-il rester fidèle à Antoine au risque d'être complice de Cléopâtre et traître à Rome ? Une fois la défaite consommée, la plupart des Antoniens disparurent de nos sources, quelques-uns furent châtiés, d'autres devinrent les soutiens du nouveau régime. La construction de l'Empire passait par la désagrégation du parti antonien et par la réutilisation de ses forces encore vives.ClassicsHistoryhistoire romainepolitiquepartisanAntiquité romainehistoire romainepolitiquepartisanAntiquité romaineClassicsHistoryhistoire romainepolitiquepartisanAntiquité romaineFerriès Marie-Claire732606FR-FrMaCLEBOOK9910306649703321Les partisans d’Antoine3024163UNINA