00870cam a2200229 a 4500991001599929707536030513s it 000 0 ita d8877506156b12170355-39ule_instDip.to Beni CulturaliitaCamporeale, Giovannangelo185358Gli Etruschi:storia e civiltà /Camporeale, GiovannangeloTorino :Utet,2000 XXVII, 603 p. :ill. ;25 cmItalianoEtruschi.b1217035502-04-1413-05-03991001599929707536LE001 AR XIII 7712001000032020le001Mar 26 Mar 2019: Sollecito rientrato il Mar 26 Mar 2019 per .p1050444pE25.00-l- 08080.i1255226422-07-03Etruschi145213UNISALENTOle001 - - ma -itait 4104040 am 2200697 n 450 9910293148603321201807252-490296-29-9(CKB)4100000007128100(FrMaCLE)OB-irhis-3200(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/41378(PPN)232658951(EXLCZ)99410000000712810020181105j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierArts premiers dans les musées de l’Europe du Nord-Ouest (Belgique, France, Pays-Bas) /Thomas Beaufils, Chang Ming PengVilleneuve d'Ascq Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion2018Les arts premiers semblent n’avoir été représentés que rarement dans la peinture ou la littérature du Moyen âge à la fin du 18e siècle. Difficile à attester, il est cependant certains que des sculptures et objets « exotiques » faisaient bien partie de la cargaison des navires marchands européens. Les pièces les plus fragiles, celles en bois, ont souvent disparu victime du temps, alors que les ivoires font partie des artefacts les mieux conservés parmi ces artificialia : « Les collections ethnologiques, incluses dans ces lieux, ont rarement bien survécu. De temps à autre des écrits, postérieurs en gardent trace. Ainsi le fils d’André Tiraqueau, ami et protecteur de Rabelais, détenait une collection africaine du début du siècle, mais perdue depuis. Quelques années plus tard Charles le Bold rechercha et acheta des pièces africaines en 1489, à l’embouchure du Congo, pour le compte du roi du Portugal. Parmi elles se trouvaient des sculptures en ivoire et des étoffes en fibres végétales. Il apparaît quasiment impossible de connaître la date d’arrivée en Europe » indique Josette Rivallain, maître de conférences au Muséum national d'histoire naturelle (« Cabinets de curiosité, aux origines des musées », Outre-mers, 2001, Volume 88, p. 20). Repérer la mention d’objets ethnographiques dans les archives de cette période n’est guère plus simple, la provenance géographique de ces objets hétérogènes amassés pèle mêle n’étant souvent pas indiquée. Un des cabinets de curiosités les plus connus est celui du physicien hollandais Bernadus Paludanus (1550-1633) qui constitua une collection d’ethnographie africaine en 1580 à Enkhuizen aux Pays-Bas. La réflexion sur les artefacts non occidentaux prit une nouvelle envergure/dimension au début du 19e siècle. On assista alors à la naissance d’un changement de regard vis-à-vis de ces objets qui désormais furent classés et décrits par leurs possesseurs.ArtHistoryarts premiersmuséesEuropeEurope du Nord-OuestBelgiqueFrancePays-BasEurope du Nord-Ouestmuséesarts premiersEuropeFrancePays-BasBelgiqueArtHistoryarts premiersmuséesEuropeEurope du Nord-OuestBelgiqueFrancePays-BasBeaufils Thomas1364913Beyers Leen1365788Hoffmann Marie1312526Martini Cécile1365789Palmenaer Els De1365790Peng Chang Ming1364918Steen-Guélen Claude1365791Beaufils Thomas1364913Peng Chang Ming1364918FR-FrMaCLEBOOK9910293148603321Arts premiers dans les musées de l’Europe du Nord-Ouest (Belgique, France, Pays-Bas)3387964UNINA