00965nam--2200349---450-99000317108020331620081106174707.0978-88-17-02635-2000317108USA01000317108(ALEPH)000317108USA0100031710820081106d2008----km-y0itay50------baitaIT||||||||001yyCampania infelixBernardo IoveneMilanoBUR2008230 p.20 cmBURFuturopassato2001BURFuturopassatoRifiuti solidi urbaniGestioneCampania2000-2008363.728094572IOVENE,Bernardo602690ITsalbcISBD990003171080203316DSSP 363.728094572 IOV15389 DSSPBKDSSPDSSP11020081106USA011747Campania infelix1014805UNISA03802 am 2200565 n 450 9910280875703321201801052-11-139932-9(CKB)4100000005183199(FrMaCLE)OB-deps-1203(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/51576(PPN)241290651(EXLCZ)99410000000518319920180223j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierLa lente féminisation des professions culturelles /Marie Guyon, Frédérique Patureau, Gwendoline VolatParis Département des études, de la prospective et des statistiques20181 online resource (22 p.) Depuis les années 1960, la croissance du taux d’activité féminine est l’une des transformations majeures du monde du travail, et les professions culturelles n’y font pas exception : la part des femmes au sein de ces professions est ainsi passée de 39 % à 43 % de 1991 à 2013. Presque tous les métiers fortement masculins au début des années 1990 comme les métiers d’art, les architectes et les photographes, par exemple, se sont ouverts aux femmes. Pour autant, la part des femmes demeure inférieure à la moyenne nationale, où l’activité féminine atteint 48 % de l’ensemble des professions, un constat qui peut surprendre au regard de la surreprésentation des femmes en termes de participation culturelle. En se développant, l’emploi féminin a largement épousé les spécificités de l’emploi propres aux professions culturelles, notamment leur plus grande flexibilité : les professionnelles de la culture sont, plus souvent que l’ensemble des actives, non salariées ou salariées sur contrats à durée limitée. Elles travaillent plus souvent à temps partiel, avec des horaires variables et atypiques, en soirée et le week-end. Surtout, leur accès aux professions artistiques et culturelles conforte la règle de la surqualification des femmes en termes de niveau de diplôme : en 2013, plus d’une active de ces professions sur deux est titulaire d’un diplôme égal ou supérieur à bac + 3, contre 40 % de leurs homologues masculins – une surqualification d’autant plus forte qu’il s’agit de métiers traditionnellement exercés par des hommes. Since the 1960s, one of the major transformations in the professional sphere has been the increasing proportion of women in work, and the cultural professions are no exception: the proportion of women in the cultural professions has risen from 39% to 43% between 1991 and 2013. Almost all the male-dominated professions of the early 1990s, for example art, architecture and photography, have since opened up to women. Nevertheless, the proportion of women remains…Women's StudiesCultural studieségalité hommes-femmesemploi culturelformationprofessions culturellestravailtravailformationégalité hommes-femmesemploi culturelprofessions culturellesWomen's StudiesCultural studieségalité hommes-femmesemploi culturelformationprofessions culturellestravailGuyon Marie1307896Patureau Frédérique1283381Volat Gwendoline1307897FR-FrMaCLEBOOK9910280875703321La lente féminisation des professions culturelles3029052UNINA