04915 am 2200829 n 450 9910214947303321201605312-7351-1897-510.4000/books.editionsmsh.6672(CKB)3710000001633203(FrMaCLE)OB-editionsmsh-6672(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/50616(PPN)203892879(EXLCZ)99371000000163320320170704j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierInvariants et variabilités dans les sciences cognitives /Jacques Lautrey, Bernard Mazoyer, Paul Van GeertParis Éditions de la Maison des sciences de l’homme20161 online resource (400 p.) 2-7351-0966-6 « Comme toutes les sciences, les sciences cognitives sont confrontées à la variabilité des phénomènes qu'elles étudient, et cherchent à dégager de cette variabilité un ensemble de régularités, d'invariants, sur lesquels ancrer les connaissances. Cette quête d'invariance implique des choix quant aux formes de variabilité à prendre en considération. Certaines, jugées pertinentes pour l'objet d'étude, sont utilisées ou manipulées pour en extraire des invariants, tandis que d'autres, jugées sans importance, sont négligées ou neutralisées. Concernant ces choix, les opinions et les pratiques sont changeantes selon les époques, l'état d'avancement des disciplines ou les courants théoriques au sein d'une même discipline. Des formes de variabilité ignorées à une époque peuvent devenir intéressantes un peu plus tard. Il semble précisément que nous soyons à une époque où le regard porté sur la variabilité évolue, notamment dans les sciences cognitives. La recherche d'universaux a souvent conduit à centrer l'analyse sur les tendances moyennes et à attribuer la variabilité observée autour de ces tendances aux erreurs de mesure ou à des bruits parasites sans grande importance. Or, dans beaucoup de disciplines concernées par la cognition, le rôle reconnu à la variabilité dans les mécanismes adaptatifs et, plus particulièrement, dans les processus d'auto-organisation, conduit à reconsidérer son statut. Cette évolution des idées suscite un regain d'intérêt pour l'étude des différentes formes de variabilité - intra-individuelle, interindividuelle, intergroupes, inter-langues, interculturelles, etc. - et conduit souvent à questionner, repenser, les invariants dans le domaine de la cognition. La recherche de nouvelles formes d'articulation entre les variabilités et les invariants apparaît donc comme un des thèmes émergents autour desquels peuvent se nouer - entre les sciences cognitives - des échanges fructueux aux plans épistémologique, théorique et méthodologique. »Cognitive scienceStatistical methodsVariability (Psychometrics)Analysis of variancesciences cognitivessciences du langagevariabilitéssociologieCognitive scienceStatistical methods.Variability (Psychometrics)Analysis of variance.Alexandre Frédéric1288309Brehmer Yvonne1299333Buisseret Pierre1299334Carlier Michèle1190515Carré René1299335Deneubourg Jean-Louis1299336Fuchs Catherine183222Gautrais Jacques1299337Geert Paul van1235893Hickmann Maya324438Hombert Jean-Marie1204186Kail Michèle472248Kirman Alan P59752Kreutzer Michel1237057Lahire Bernard738567Laks Bernard490832Lautrey Jacques47886Li Shu-Chen1299338Liénard Jean-Sylvain1299339Lindenberger Ulman1299340Mazoyer Bernard1235892Molenaar Peter C. M1110084Ohlmann Théophile1299341Rieben Laurence1286106Roubertoux Pierre L1299342Taylor Anne-Christine1275556Theraulaz Guy672734Tzourio-Mazoyer Nathalie1299343Xerri Christian1299344Lautrey Jacques47886Mazoyer Bernard1235892Van Geert Paul1299345FR-FrMaCLEBOOK9910214947303321Invariants et variabilités dans les sciences cognitives3025125UNINA