03812oam 2200577zu 450 991014014840332120210807001247.02-8218-4230-910.4000/books.igpde.3310(CKB)2560000000351791(SSID)ssj0001348631(PQKBManifestationID)12519185(PQKBTitleCode)TC0001348631(PQKBWorkID)11370795(PQKB)11285942(FrMaCLE)OB-igpde-3310(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/56260(PPN)267966296(EXLCZ)99256000000035179120160829d2002 uy freuu||||||m||||txtccrLa piastre et le fusil : le coût de la guerre d'Indochine, 1945-1954Institut de la gestion publique et du développement économique2002[Place of publication not identified]Ministère de l'économie des finances et de l'industrie Comité pour l'histoire économique et financ20021 online resource (X-634 p.) Etudes gâenâerales La piastre et le fusil Bibliographic Level Mode of Issuance: Monograph2-11-091055-0 Pour analyser la guerre d'Indochine, à la fois réputée « trop chère » et pervertie par le trafic des piastres, Hugues Tertrais a privilégié le point de vue financier. Il ouvre ainsi une fenêtre à la fois nécessaire et originale qui éclaire différemment le conflit et permet d'en repenser le déroulement. Car si l'argent est le « nerf de la guerre », l'occasion des profits indirects. En s'appuyant sur les archives économiques et financières, l'auteur montre comment le conflit, au départ de nature coloniale, a été rattrapé par son coût. En effet, à défaut de pousser à la négociation avec l'adversaire, dans un contexte marqué par les fortes tensions de la guerre froide, les contraintes financières plaidaient pour un montage combinant les États associés et l'aide américaine, et un désengagement progressif. Le financement de la guerre d'Indochine a donc été un élément déterminant de son évolution. L'évaluation du coût de la guerre conduit ainsi à une évaluation de la guerre elle-même, à travers la nature de ses dépenses, les modalités de leur financement et la gestion des flux financiers qui en découlent, dans laquelle le ministère des Finances joue un rôle croissant : un an avant Dien Bien Phu, la dévaluation de la piastre indiquera le sens que la France donne à ses ultimes ambitions en Asie. La guerre d'Indochine est alors « à vendre » et les Etats-Unis apparaissent comme le seul acquéreur possible. La suite n'est certes alors pas encore écrite mais on sait que si la France - pertes et profits confondus - sortira de l'aventure sans trop de dommages, il n'en sera pas de même des pays d'Indochine, certes indépendants mais balkanisés et dans une paix plus que provisoire.Indochinese War, 1946-1954Economic aspectsFranceRegions & Countries - Asia & the Middle EastHILCCHistory & ArchaeologyHILCCSoutheast AsiaHILCCguerre colonialeguerre d’IndochinepiastreIndochinese War, 1946-1954Economic aspectsRegions & Countries - Asia & the Middle EastHistory & ArchaeologySoutheast Asia959.704/11Tertrais Hugues675263PQKBBOOK9910140148403321La piastre et le fusil : le coût de la guerre d'Indochine, 1945-19542055104UNINA