02590 am 2200541 n 450 991013762120332120240220181900.02-8218-1555-72-35159-281-610.4000/books.ifpo.222(CKB)3170000000060976(FrMaCLE)OB-ifpo-222(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/41273(PPN)182836991(EXLCZ)99317000000006097620090306j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierArmées et combats en Syrie de 491/1098 à 569/1174 Analyse comparée des chroniques médiévales latines et arabes /Abbès ZouacheDamas Presses de l’Ifpo20091 online resource (1000 p.)2-35159-025-2 Dès leur arrivée en Syrie, les Francs firent preuve d’une adaptabilité multiforme. Ils intégrèrent des éléments locaux dans leurs armées, palliant ainsi leurs difficultés démographiques, même s’il faut revenir sur l’idée d’une supériorité musulmane systématique. Les armées musulmanes souffrirent longtemps d’un déficit de commandement et ne devinrent cohésives, disciplinées et correctement équipées qu’à partir de Zankī. La guerre, très présente, s’était alors déjà réglée, au moins en partie. Les coups de main rapides et la guerre de siège constituaient la majorité des affrontements. Les Francs comblèrent leur retard en matière de poliorcétique. Sur les champs de bataille, servis par un équipement lourd de qualité, leurs cavaliers perfectionnèrent leur charge massive et leur technique de la charge lance couchée; les cavaliers turcs, polyvalents, y répondirent par une discipline et une mobilité plus grandes encore.HistoryArea StudiesFrancs(peuple)poliorcétiqueéquipement militairearmée musulmaneéquipement militairepoliorcétiquearmée musulmaneFrancs(peuple)HistoryArea StudiesFrancs(peuple)poliorcétiqueéquipement militairearmée musulmaneZouache Abbès802382FR-FrMaCLEBOOK9910137621203321Armées et combats en Syrie de 4911803704UNINA