04075 am 2200745 n 450 9910136977403321201605192-7535-4603-710.4000/books.pur.34090(CKB)3710000000749536(FrMaCLE)OB-pur-34090(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/54842(PPN)267930461(EXLCZ)99371000000074953620160719j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierNouvelle Vague, nouveaux rivages Permanences du récit au cinéma, 1950-1970 /Gilles Mouëllic, Jean ClederRennes Presses universitaires de Rennes20161 online resource (284 p.) 2-86847-587-6 Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, on peut considérer que le rapport à la représentation s'est profondément modifié. De ces profondes modifications, le Nouveau Roman puis la Nouvelle Vague présenteront, à la fin des années cinquante, les manifestations les plus spectaculaires. Pour des raisons qui sont d'abord historiques, en littérature comme au cinéma, la bonne conscience et la toute puissance du récit ont été fortement ébranlées, de sorte que, si l'on nous raconte encore des histoires, les façons et les enjeux ont peut-être changé radicalement. Dans la perspective d'une réflexion sur le récit, la Nouvelle Vague représente d'abord le rassemblement plus ou moins formalisé des nouveaux cinéastes (Claude Chabrol, Jean-Luc Godard, Jacques Rivette, Éric Rohmer, François Truffaut) qui ont travaillé aux Cahiers du Cinéma. Mais d'autres noms, qui évoquent pour nous d'autres territoires et d'autres choix formels, participent nécessairement aux interrogations suscitées par ce groupe : Chantal Akerman, John Cassavetes, Marguerite Duras, Jean Eustache, Pier Paolo Pasolini, Alain Resnais, Alain Robbe-Grillet, Jean Rouch. D'autres encore ont préparé ou prolongé le mouvement de cette vague dont l'insistance aura finalement permis de redessiner pour tout le monde les rivages de la fiction. Pour prendre la mesure des transformations du récit à partir des années cinquante, il nous faudra rompre enfin avec l'isolationnisme des pratiques cinéphiliques afin de faire apparaître les relations qui se tissent entre le cinéma et les autres pratiques, parce que la littérature, la télévision, la musique, la vidéo, interviennent activement dans la mobilisation de la représentation au cinéma.Film Radio TelevisioncinémalittératureNouvelle VagueFranceNouvelle VaguelittératurecinémaFranceFilm Radio TelevisioncinémalittératureNouvelle VagueFranceAllain Patrice1289870Bellemare Denis1289871Bluher Dominique959600Bourges Alain1289872Cérès Patrick1289873Cerisuelo Marc1289874Cléder Jean785407Delavaud Gilles1289875Esquenazi Jean-Pierre476747Gerstenkorn Jacques780880Grange Marie-Françoise1232733Joubert-Laurencin Hervé1289842Jullier Laurent603315Millet Thierry1289876Mouëllic Gilles779098Scheinfeigel Maxime945748Taquin Véronique1289877Tibloux Emmanuel1289022Wagner Franck1289878Mouëllic Gilles779098Cleder Jean785407FR-FrMaCLEBOOK9910136977403321Nouvelle Vague, nouveaux rivages3021261UNINA04058 am 2200697 n 450 9910136985003321201605022-7535-4592-810.4000/books.pur.30331(CKB)3710000000749508(FrMaCLE)OB-pur-30331(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/59333(PPN)267955901(EXLCZ)99371000000074950820160719j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierLa Sibylle Parole et représentation /Monique Bouquet, Françoise MorzadecRennes Presses universitaires de Rennes20161 online resource (304 p.) 2-86847-879-4 Depuis son apparition dans l’Asie Mineure archaïque jusqu’à son triomphe dans l’Italie de la Renaissance, la Sibylle s’est prêtée à des métamorphoses successives, de la prophétesse païenne issue du polythéisme antique, figure à la fois une et multiple du savoir, à la prophétesse “dé-paganisée” de l’ère chrétienne, revivifiée par les monothéismes juif et chrétien. Ce sont ces métamorphoses que ce livre se propose d’explorer, dans la religion et dans l’imaginaire occidentaux. Porte-parole inspirée par un dieu et inscrite dans les débats politico-religieux, femme parmi les prophètes dans sa réélaboration religieuse par les communautés judéo-chrétiennes, guide d’un parcours poétique fondé sur la réécriture, fée médiévale à la libido exacerbée ou personnage évanescent du théâtre symboliste, sont quelques unes de ses facettes envisagées ici, dans leur continuité et leur permanence. La Sibylle est à la charnière de deux mondes, faisant le lien de l’un à l’autre, monde païen et monde chrétien, monde humain et monde divin, monde des vivants et monde des morts, monde de l’écrit et monde de la voix. Par l’obscurité, le mystère de sa personne et de sa parole, elle a éveillé les imaginations et les siècles ont vu en elle un moyen d’appréhender l’indicible ou l’incompréhensible, dans un va-et-vient constant entre la parole éphémère, insaisissable et obscure, et sa fixation par l’écrit ou l’image. Ce volume est l’aboutissement d’un colloque organisé par le CELAM à l’Université de Rennes 2 autour de la figure de la Sibylle et de sa parole prophétique à travers les arts et les âges. Il réunit des articles de chercheurs de plusieurs pays européens, spécialistes de littérature, histoire, histoire des religions et musique.SibylsCongresseslittérature latineSybilleslittératureAntiquitéSibyls133.3/248Belayche Nicole296699Bouquet Monique621652Buron Emmanuel1284197Champeaux Jacqueline173061Colette Marie-Noël1303215Colombo Ileana Chirassi1312947Crippa Sabina714885Cusset Christophe674739Deremetz Alain1287998Ducrey Anne1306716Ferlampin-Acher Christine292478Février Caroline473346Foulon Albert1312948Guittard Charles205289His Isabelle1303218Hüe Denis1280830Mora Francine1238392Morzadec Françoise1238762Morzadec Monique Bouquet et FrançoiseNelis Damien P1312949Pomel Fabienne549964Ramires Giuseppe295667Bouquet Monique621652Morzadec Françoise1238762FR-FrMaCLEBOOK9910136985003321La Sibylle3031159UNINA