05248 am 2200985 n 450 9910136480603321201607202-7535-4750-510.4000/books.pur.39332(CKB)3710000000873378(FrMaCLE)OB-pur-39332(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/47503(PPN)267956266(EXLCZ)99371000000087337820160927j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierFemmes éducatrices au siècle des Lumières /Isabelle Brouard-Arends, Marie-Emmanuelle Plagnol-DiévalRennes Presses universitaires de Rennes20161 online resource (390 p.) 2-7535-0468-7 Les femmes éducatrices qu’évoque ce livre ont compris les enjeux qui dépassent largement l’individu singulier, garçon et/ou fille. Elles agissent dans l’enceinte familiale en interpellant mère et père (la mère dont ces actes révèlent l’importance réelle ou fictive tant elle apparaît de plus en plus comme un interlocuteur privilégié), enceinte familiale considérée comme un lieu expérimental pour préparer un projet de société. Les partenaires de l’éducation, femmes, hommes, auteurs ou non, entrent dans des géométries variables, mais qui, toutes, soulignent la présence grandissante de la femme dans le domaine éducatif, quelle que soit sa place dans la société, femmes de pouvoir ou au pouvoir, femmes exceptionnelles ou non, personnel mercenaire d’une éducation domestique, conventuelle, institutionnelle, privée ou non, célibataires, épouses, mères ou grand-mères, mais toutes conscientes de leur rôle. Cette préoccupation est l’occasion de se forger un destin, d’abord par la réflexion sur le statut lié à leur éducation, mais aussi et surtout parce que leur prise de position s’accompagne d’une entrée en écriture, en littérature, parfois en politique, tolérée dans un premier temps tant le terrain éducatif paraît le prolongement naturel de la vocation maternelle, mais aussi discutée, contestée, ridiculisée, interdite quand les revendications inquiètent trop le pouvoir en place. La question des savoirs, leur nature, leur mode d’apprentissage qui peut aller de l’autodidaxie à une éducation spécifique conçue pour elle par un mentor (père ou mère) en passant par un enseignement reçu par contrebande (quand elles profitent de l’éducation de leurs frères) posent le problème d’un enseignement féminin lui-même, centré sur une conception de la femme « naturellement » portée vers les arts d’agrément, la civilité, l’épistolaire, à qui les sciences, mais aussi tout simplement la lecture doivent être autorisées avec parcimonie et surveillance. Explicitée ou non par les textes, la question…HistoryLiterature (General)femmelivrelittérature françaiseéducation des femmesXVIIIème sièclelectureenseignementenseignementéducation des femmeslittérature françaisefemmelecturelivreXVIIIème siècleHistoryLiterature (General)femmelivrelittérature françaiseéducation des femmesXVIIIème sièclelectureenseignementAstbury Katherine442395Bérenguier Nadine1297666Bernez Marie-Odile731450Brouard-Arends Isabelle1297670Cherrad Sonia1306899Cirillo Valeria De Gregorio1306900Didier Béatrice385083Dousset Christine1284955Dow Gillian1306901Gargam Adeline1306902Goodman Dena261889Guillemet Morgane1303206Jakuboszczak Agnieszka1306903Krief Huguette1286257Kulessa Rotraud von934280Lemonnier-Mercier Aline1293486Liris Élisabeth1306904Marchand Philippe1231722MichelEvrard Isabelle1306905Mongenot Christine1296113Picco Dominique1296115Plagnol-Diéval Marie-Emmanuelle439649Porré Helje1297690Rivara Annie505742Seth Catriona1285844Simonin Charlotte1297692Stroev Alexandre1277668Vanoflen Laurence1297695Brouard-Arends Isabelle1297670Plagnol-Diéval Marie-Emmanuelle439649FR-FrMaCLEBOOK9910136480603321Femmes éducatrices au siècle des Lumières3028624UNINA