04652 am 2200853 n 450 9910330713203321201906072-7535-6921-510.4000/books.pur.118133(CKB)4100000008710854(FrMaCLE)OB-pur-118133(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/42657(PPN)267961766(EXLCZ)99410000000871085420190716j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierLe CAP : un diplôme du peuple (1911-2011) /Moreau Gilles, Fabienne Maillard, Guy BrucyRennes Presses universitaires de Rennes20191 online resource (328 p.) 2-7535-2228-6 En 2011 le certificat d'aptitude professionnelle (CAP) a eu cent ans. Comparé au baccalauréat bicentenaire, c'est peu ; mais par rapport à bien d'autres diplômes, y compris le célèbre certificat d'études primaires, cette longévité est remarquable. Qui, au début du XXe siècle, aurait envisagé un tel destin pour un diplôme professionnel alors novateur, mais fortement discuté ? Certes, en cent ans, le CAP a connu maintes métamorphoses et son histoire est tout sauf linéaire et tranquille. Mais, il semble encore promis un bel avenir, tant il a une capacité à passer à travers les gouttes des multiples réformes scolaires, dont certaines avaient clairement envisagé sa disparition. Diplôme à vocation professionnelle, créé pour certifier la qualification ouvrière et employée, le CAP a toujours fait l'objet de polémiques. Trop scolaire pour certains employeurs ou secteurs d'activité, trop professionnel aux yeux des enseignants du secondaire, ou encore trop spécialisé ou trop généraliste, il a subi des critiques incessantes, moins liées à son contenu, ses objectifs ou ses publics, qu'à la définition même de ce que doit être un diplôme professionnel sous tutelle de l'Éducation nationale. Les questions posées au moment de la création de ce diplôme en 1911, puis celles qui ont émaillé le cours de son histoire, sont en effet semblables aux interrogations que suscite de nos jours l'avenir du baccalauréat professionnel, du brevet de technicien supérieur (BTS), de la licence ou encore du master. Quand tous les diplômes ou presque sont supposés être « professionnels » et préparer spécifiquement à l'emploi, leur curriculum, l'organisation de la formation, l'équilibre entre école et entreprise, et leur reconnaissance sur le marché du travail, etc. posent inévitablement des questions. À ce titre, le CAP est emblématique des conflits et compromis que génèrent la mise en place et le devenir d'un diplôme professionnel quel qu'il soit. C'est l'ensemble de cette actualité dont rend compte…CAP Le CAP Historyéducationécoleenseignementhistoire de l'éducationéducation populairediplômediplômeenseignementéducation populaireéducationhistoire de l'éducationécoleHistoryéducationécoleenseignementhistoire de l'éducationéducation populairediplômeBelhadjin Anissa1282718Bouju Marie-Cécile1320580Brucy Guy1292652Caillaud Pascal1321308Capdevielle-Mougnibas Valérie1321309Cayouette-Remblière Joanie1321310Cizeau Thibault1321311Courtinat-Camps Amélie1305168Divert Nicolas1321312Eckert Henri1296546Lembré Stéphane1245797Lopez Maryse1304821Maillard Fabienne1321313Moreau Gilles1312985Palheta Ugo1321314Sido Xavier1304823Suteau Marc1321315Tanguy Lucie736672Thivend Marianne1307000Gilles Moreau1321316Maillard Fabienne1321313Brucy Guy1292652FR-FrMaCLEBOOK9910330713203321Le CAP : un diplôme du peuple3034564UNINA03253nam 2200709zu 450 991013336180332120210807004433.02-7099-1764-510.4000/books.irdeditions.4620(CKB)3390000000053611(SSID)ssj0001538079(PQKBManifestationID)11829920(PQKBTitleCode)TC0001538079(PQKBWorkID)11526142(PQKB)11432388(WaSeSS)IndRDA00045164(FrMaCLE)OB-irdeditions-4620(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/49366(PPN)26794912X(FR-PaCSA)88876495(FRCYB88876495)88876495(EXLCZ)99339000000005361120241012d2013 u| |freur|||||||||||txtccrHistoire et agronomie : entre ruptures et duréeIRD Éditions2007[Place of publication not identified]IRD Éditions20071 online resource (512 pages)Colloques et séminairesBibliographic Level Mode of Issuance: Monograph2-7099-1626-6 Au cours des deux derniers siècles, le champ des agronomies a été traversé par de nombreuses révolutions qui ont constitué autant de ruptures importantes. Alors que ces disciplines se trouvent aujourd'hui face à l'émergence de nouveaux paradigmes comme celui du développement durable, il était important d'amener agronomes et historiens à confronter leurs savoirs pour mieux analyser les changements sociaux et techniques qui ont découlé de ces ruptures. Si pour l'historien, les ruptures s'inscrivent essentiellement dans la durée, pour l'agronome, elles répondent davantage à des questions pratiques de production et de protection des espaces naturels. Et les sciences de l'agronomie ont beaucoup à gagner en intégrant le regard des historiens à leurs propres perceptions des hommes, des concepts et des techniques. Cet ouvrage présente le résultat des réflexions croisées de quelque trente spécialistes européens de ces deux disciplines, réunis à Montpellier deux cents ans après la parution du travail fondateur de Nicolas-Théodore de Saussure (1804).Collection Colloques et séminaires.AgricultureHILCCEarth & Environmental SciencesHILCCPlant SciencesHILCCagriculturesystème agraireanthropisationdéveloppement ruralagropastoralismeexploitation agricolepratique culturalepaysageagronomiesociété ruraleAgricultureEarth & Environmental SciencesPlant SciencesJean-Paul Aeschlimannauth1355908Aeschlimann Jean-PaulFeller ChristianRobin PaulPQKBBOOK9910133361803321Histoire et agronomie : entre ruptures et durée3360017UNINA