02248 am 2200457 n 450 9910131510903321201504152-7177-2690-X10.4000/books.editionsbnf.1498(CKB)3710000000445534(FrMaCLE)OB-editionsbnf-1498(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/42928(PPN)189310227(EXLCZ)99371000000044553420150716j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierLes Cervantiades /Juan GoytisoloParis Éditions de la Bibliothèque nationale de France20151 online resource (72 p.) 2-7177-2058-8 « Si Cervantes est l’écrivain dont je me sens le plus proche, cela tient à sa qualité de précurseur de toutes les aventures : si sa familiarité avec la vie musulmane donne à son œuvre une indéniable dimension mudéjar, l’invention romanesque, à travers laquelle il assume la totalité de ses expériences et de ses rêves, fait de lui le meilleur exemple de l’attitude illustrée par le dicton : humani nihil a me alienum puto. Trois siècles et demi plus tard, les romanciers font encore du “cervantisme” sans le savoir : en composant nos œuvres, nous écrivons à partir de Cervantes et pour Cervantes ; en écrivant sur Cervantes, nous écrivons sur nous-mêmes, que sa ferveur islamique nous soit étrangère ou familière. Cervantes reste le point vers lequel toujours convergeront nos regards. » Juan Goytisolo, extrait de « Vicissitudes du mudéjarisme », in Chroniques sarrasines, Paris, Fayard, 1985.Literary ReviewsLiterary Theory & CriticismCervantesconférenceCervantesconférenceLiterary ReviewsLiterary Theory & CriticismCervantesconférenceGoytisolo Juan131792FR-FrMaCLEBOOK9910131510903321Les Cervantiades3032906UNINA