00772nam0-22003011i-450-99000329325040332120001010000329325FED01000329325(Aleph)000329325FED0100032932520000920d1949----km-y0itay50------baitay-------001yyMANUEL SCIENTIFIQUE DE L'AFRIQUE NOIREParisPayot1949pp. 192Africa021.066De Pedrals,D.-P.376892ITUNINARICAUNIMARCBK990003293250403321021.066.DEP25345DECGEDECGEMANUEL SCIENTIFIQUE DE L'AFRIQUE NOIRE446140UNINAING0102353 am 2200457 n 450 9910495984003321202001292-7574-2615-X10.4000/books.septentrion.84016(CKB)5590000000006668(FrMaCLE)OB-septentrion-84016(oapen)https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/86989(PPN)251072630(EXLCZ)99559000000000666820201123j|||||||| ||| 0freuu||||||m||||txtrdacontentcrdamediacrrdacarrierLes échafauds du romanesque /Patrick Wald LasowskiVilleneuve d'Ascq Presses universitaires du Septentrion20201 online resource (112 p.) Objet2-85939-393-5 De la guillotine on ne retient jamais que l’effet de rupture, l’effondrement d’un monde auquel la Terreur met un terme, définitivement. C’est oublier que la guillotine s’inscrit dans la mémoire, qu’elle découpe alors un nouvel espace de représentation auquel la peinture, la photographie, le cinématographe, musées de cires et salons de coiffure, se trouvent assujettis... Visages plus purs exaltés par la lunette, visions fugitives - « Un éclair... puis la nuit ! »- qui obéissent à la logique de l’instantané : le fil de la guillotine commande l’exposition romanesque du visage. L’échafaud fonde une scène nouvelle, suscite une constellation d’images et de textes. Singulière machine, -appareil funèbre, -vrai objet de désir. La littérature romanesque du xixe siècle se renouvelle, s’édifie, s’échafaude à partir de la guillotine, avec vue sur la Grève.French literature19th centuryHistory and criticismGuillotine in literatureFranceHistoryRevolution, 1789-1799Literature and the revolutionromanéchafaudtensionFrench literatureHistory and criticism.Guillotine in literature.840.9/007Wald Lasowski Patrick445875FR-FrMaCLEBOOK9910495984003321Les échafauds du romanesque2861730UNINA