1.

Record Nr.

UNINA990005603650403321

Autore

Tissot, Roland

Titolo

Peinture et sculpture aux États-Unis / Roland Tissot

Pubbl/distr/stampa

Paris : Armand Colin, c1973

Descrizione fisica

302 p., 24 tav. ; 16 cm

Collana

U-Prisme

Disciplina

709.73

Locazione

FLFBC

Collocazione

709.73 TIS 1

Lingua di pubblicazione

Francese

Formato

Materiale a stampa

Livello bibliografico

Monografia

2.

Record Nr.

UNINA9910275048103321

Autore

Autheman André

Titolo

La Banque impériale ottomane / / André Autheman

Pubbl/distr/stampa

Paris, : Institut de la gestion publique et du développement économique, 2017

ISBN

2-11-129421-7

Descrizione fisica

1 online resource (XII-295 p.)

Altri autori (Persone)

ThobieJacques

Soggetti

Economics

History

banque

histoire économique et financière

Empire Ottoman

XIXe siècle

banque impériale

histoire économique

Turkey History Ottoman Empire, 1288-1918

Lingua di pubblicazione

Francese

Formato

Materiale a stampa



Livello bibliografico

Monografia

Sommario/riassunto

Fondée au dix-neuvième siècle par un groupe de financiers de Londres, à l'initiative du gouvernement de Constantinople, afin d'être la banque d'émission de l'Empire ottoman, la Banque ottomane fut le produit à la fois de la volonté réformatrice de dirigeants turcs de l'époque et de l'expansion du capitalisme occidental à la recherche de nouveaux territoires à mettre en valeur. Dans l'esprit de ses fondateurs, le nouvel établissement ne bornerait pas ses activités à l'émission monétaire et au financement de l'Etat, il serait aussi une banque commerciale et une banque d'affaires promoteur d'entreprises de toute nature sur le territoire de l'empire. La prospérité de ce dernier conditionnait, en effet, celle de la banque elle-même.  Ce triple rôle, la Banque impériale ottomane s'efforça de le remplir tout au long de la vie de l'Empire ottoman. Elle joua un rôle de tout premier plan dans le placement des emprunts turcs sur les marchés occidentaux, celui de Paris avant tout. Son réseau de succursales s'en vint peu à peu à couvrir tout le territoire de l'empire, en Europe, en Asie, en Afrique. Enfin, elle participa activement à la création de diverses sociétés de services publics et de chemin de fer.  La banque devait nécessairement subir les contrecoups des crises qui affectèrent l'économie mondiale et des graves événements qui marquèrent les dernières décennies de l'Empire ottoman : guerre russo-turque, révolution jeune-turque, agitation des minorités, guerres balkaniques. La guerre 1914-1918 et ses séquelles en Orient entraînèrent la disparition de l'empire et le bouleversement de la carte politique. Ce fut la fin de la période « impériale » de la Banque ottomane.



3.

Record Nr.

UNINA9910583198403321

Autore

Amat Matthieu

Titolo

Simmel, le parti-pris du tiers / / Denis Thouard, Bénédicte Zimmermann

Pubbl/distr/stampa

Paris, : CNRS Éditions, 2022

ISBN

9782271142467

2271142466

Descrizione fisica

1 online resource (448 p.)

Collana

CNRS Philosophie

Altri autori (Persone)

CarterEllwood B

FitziGregor

KrechVolkhard

LaurensSylvain

LevineDonald N

Le RiderJacques

MengerPierre-Michel

Miller GormanEleanor

OrléanAndré

QuéréLouis

SégolJulien

Stavo-DebaugeJoan

ThévenotLaurent

ThouardDenis

WernerMichael

ZimmermannBénédicte

Soggetti

History & Philosophy Of Science

sociologie

Simmel

tiers

individu

Lingua di pubblicazione

Francese

Formato

Materiale a stampa

Livello bibliografico

Monografia



Sommario/riassunto

Philosophe et sociologue, Georg Simmel (1958-1918) a développé une pensée originale qui se soustrait à la tentation des oppositions duales, telles qu’individu et société, expérience et structure. Sa pensée du tiers saisit la complexité des relations sociales à partir de la différenciation et de la réciprocité. Son approche se veut processuelle et relationnelle. Plus qu’un état de la société, ce sont les dynamiques qui la produisent, le « faire société » qu’il cherche à élucider. L’objectif de cet ouvrage est de montrer l’actualité et la fécondité des pistes ouvertes il y a un siècle par Simmel, pour penser des questions aussi décisives que la sociabilité, le pouvoir, la valeur de l’argent et du travail, la confiance ou la religion. Ces considérations se veulent des prolongements, des discussions à partir de Simmel plutôt qu’une exégèse de son œuvre. Elles font le pari que les sciences sociales ont beaucoup à gagner à rouvrir certaines de ces pistes. À travers son regard sociologique, Simmel nous engage à explorer la complexité des relations à travers lesquelles se constituent réciproquement l’individu et la société. À travers sa réflexion philosophique, il nous invite à interroger les évidences, les clivages catégoriels et disciplinaires auxquels nous nous sommes accoutumés. Esprit en son temps résolument moderne, Simmel, en bien des points, nous précède encore.