seulement dans le domaine du travail, mais plus généralement dans l’ensemble des relations sociales. Les analyses proposées ici, portent notamment sur les « industries créatives et culturelles » où le précariat est particulièrement répandu, ainsi que sur le travail de la « connaissance » dont se nourrit aujourd’hui le capitalisme de l’« immatériel ». En transcendant une vision purement eurocentrique du phénomène étudié, il s’agit également de penser le processus d’« esthétisation » dont la précarité tend à faire l’objet. |