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Record Nr.

UNINA9910495829903321

Autore

Bachir Diagne Souleymane

Titolo

Réalités et représentations de la violence en postcolonies / Victorien Lavou Zoungbo, Jean-Godefroy Bidima

Pubbl/distr/stampa

Perpignan, : Presses universitaires de Perpignan, 2017

ISBN

2-35412-283-7

Descrizione fisica

1 online resource (399 p.)

Altri autori (Persone)

BidimaJean Godefroy

BidimaJean Godefroy

Botbol-BaumMylène

CrostaSuzanne

DanblonEmmanuelle

FendlerUte

FusaschiMichela

Godefroy BidimaJean

HarveyRobert

HengeholdLaura

Lavou ZoungboVictorien

LeducNatali

MartyMarlène

MenardAndrés

NesbittNick

PalermoZulma

ParaïsoJean-Yves

Pascal KalyAlain

SabatierDiane

Saloum DiattaCherif

Sureda-CaglianiSylvie

Lavou ZoungboVictorien

BidimaJean-Godefroy

Soggetti

History

post-colonialisme

violence

littérature

politique

literature

politics

post-colonialism



Lingua di pubblicazione

Francese

Formato

Materiale a stampa

Livello bibliografico

Monografia

Sommario/riassunto

On s'habitue - presque - à tout, même à la violence ! On s'exaspère de tout, parfois des livres sur la violence ! On se proclame expert en tout, surtout quand il s'agit de dénon­cer la violence ! On se veut cynique en tout, plus spécialement quand on administre la violence ! On se fatigue de tout, surtout des pratiques et représentations de la violence. Celle-ci est un défi à l'intelligence, à l'éthique et au sens de la responsabilité. Les formes de violence des histoires postcoloniales et leur perpétuation nous poussent à les (re)lire et à y traquer les confusions, les manipulations et les maquillages. Affectant l'histoire et la géographie, le physique et le mental, les individus et les communautés, les États et les sociétés civiles, le sacré et le profane, le local et le global, les contemporains et leurs aïeux, les violences nous récitent non seulement le chapelet de la construction de l'absurdité de l'existence postcoloniale, mais aussi l'injustifiable permanence de l'injustice. La violence révèle le fonds bestial qui sommeille en nous, chaque fois que, ivres de notre puissance ou de notre échec, nous mettons nos intelligences et nos responsabilités en veilleuse.