de Stendhal, écrites à divers moments de sa carrière littéraire, et ce choix éclectique d’hommes illustres : Haydn, qui lui permet d’affi ner sa théorie du Beau dans les arts ; Napoléon, dont la « vie » devient une réponse à un libelle anti-bonapartiste ; Rossini, dont le style vivace et le rejet des règles classiques sert la cause romantique de 1823 ; et Stendhal lui-même, alias Henry Brulard, cet individu « bien inconnu » qui souhaiterait se connaître. De par leurs spécifi cités et leur originalité, ces œuvres mettent en lumière la plasticité d’un genre qui, en cette période mouvementée, s’avère propice à l’expérimentation et à l’innovation, tant dans le style que dans l’usage qui en est fait. |