1.

Record Nr.

UNINA9910418041703321

Autore

Schlegel Friedrich

Titolo

Critique et herméneutique dans le premier romantisme allemand : Textes de F. Schlegel, F. Schleiermacher, F. Ast, A.W. Schlegel, A.F. Bernhardi, W. Dilthey / / Friedrich Schlegel, Friedrich Daniel Ernst Schleiermacher, Friedrich Ast, August Wilhelm Schlegel, August Ferdinand Bernhardi, Wilhelm Dilthey

Pubbl/distr/stampa

Villeneuve d'Ascq, : Presses universitaires du Septentrion, 2020

ISBN

2-7574-2640-0

Descrizione fisica

1 online resource (392 p.)

Altri autori (Persone)

SchleiermacherFriedrich Daniel Ernst

AstFriedrich

SchlegelAugust Wilhelm

BernhardiAugust Ferdinand

DiltheyWilhelm

DenisThouard

ThouardDenis

Soggetti

Philosophy

romantisme

herméneutique

critique

Lingua di pubblicazione

Francese

Formato

Materiale a stampa

Livello bibliografico

Monografia

Sommario/riassunto

Dans la pratique philologique, la critique, qui établit l’authenticité du texte et l’herméneutique, qui en dégage le sens, sont deux opérations solidaires. Ce modèle s’est vu élevé à la réflexion, dès la fin du xviiie siècle en Allemagne, par les auteurs de la génération romantique, Friedrich Schlegel, Schleiermacher et Ast. Le projet de réunir "philologie et philosophie" résume leur tentative, originale par rapport aux philosophies postkantiennes. Car ces auteurs cherchent à penser l’antinomie entre la critique et l’herméneutique, la mise à distance dans le jugement et l’expérience d’une appartenance première. Suivant des



perspectives distinctes, ils ont conçu une théorie philosophique de l’interprétation, depuis le cadre d’une encyclopédie philologique. Mais cette théorie ne s’est pas préparée à l’écart de tout exercice. Depuis la pratique philologique jusqu’à l’invention d’un nouvel art de la critique littéraire propre au premier romantisme d’Iéna, il s’agit toujours de l’autoréflexion d’une pratique interprétative, de l’effort fourni pour en énoncer les fondements et la portée. Le choix des textes retenus vise à mettre en évidence cette double perspective, en reconstituant ainsi l’arc allant du jugement critique singulier (sur la Lucinde ou le Philoctète) à la recomposition du sens de grands ensembles textuels (Boccace ou Lessing) et menant à la proposition d’une théorie cohérente. Entre le jugement critique et la relation herméneutique partant de la reconnaissance de l’historicité du sens, c’est le projet d’une encyclopédie des sciences de l’esprit qui cherche ici ses fondements théoriques.

2.

Record Nr.

UNINA9910330456403321

Autore

Ager Sheila

Titolo

La violence dans les mondes grec et romain / / Jean-Marie Bertrand

Pubbl/distr/stampa

Paris, : Éditions de la Sorbonne, 2019

ISBN

979-1-03-510196-1

Descrizione fisica

1 online resource (467 p.)

Altri autori (Persone)

BonnardJean-Baptiste

BruléPierre

CantarellaEva

CassimatisHélène

ChaniotisAngelos

CouvenhesJean-Christophe

CuchetViolaine Sebillotte

EllingerPierre

FisherNick

GagarinMichael

HuetValérie

JacqueminAnne

LeducClaudine

MaffiAlberto

ParadisoAnnalisa

PirsonFelix

PowellAnton

RicherNicolas

ScheidEvelyne

StaffordEmma J

VeïsseAnne-Emmanuelle



VillanuevaMarie-Christine

BertrandJean-Marie

Soggetti

Classics

History

violence

justice

guerre

politique

grec

romain

Lingua di pubblicazione

Francese

Formato

Materiale a stampa

Livello bibliografico

Monografia

Sommario/riassunto

Le colloque international sur la violence dans les mondes de l’Antiquité dite classique réuni des historiens soucieux d’explorer des domaines différents mais complémentaires. Leur préoccupation a été d’abord de comprendre quelle était la représentation de la violence dans les sociétés grecque et romaine grâce à une analyse des discours produits, qu’ils aient été textes ou images. À partir de ces prémisses, ils montrent quelles normes ont structuré le système social, ils élargissent et enrichissent la place accordée à la violence intra-familiale, tout en s’inscrivant résolument dans les actuelles interrogations sur le genre. En abordant le domaine de la justice, qu’elle ait été vengeance ou recherche d’autres formes d’équilibre, les auteurs analysent la mise en relation entre la violence et le politique. Ils n’ont pas négligé bien sûr la guerre, où la violence est à la fois externe aux groupes affrontés et interne au monde des soldats, par l’effet de la brutalisation inhérente à leur pratique. Enfin la violence, qui n’est pas non plus absente des relations diplomatiques, renvoie à un des problèmes initialement posés, celui de sa mise en scène et de son institutionnalisation.