1.

Record Nr.

UNINA9910418041103321

Autore

Auerbach Erich

Titolo

Où est la littérature mondiale ? / / Christophe Pradeau, Tiphaine Samoyault

Pubbl/distr/stampa

Saint-Denis, : Presses universitaires de Vincennes, 2020

ISBN

2-37924-107-4

Descrizione fisica

1 online resource (160 p.)

Altri autori (Persone)

CasanovaPascale

DavidJérôme

EpelboinAnnie

GarnierXavier

PradeauChristophe

RuffelLionel

SamoyaultTiphaine

SchlangerJudith

Soggetti

Literature (General)

écriture

philosophie

littérature

littérature comparée

lecture

marxisme

critique

littérature mondiale

Lingua di pubblicazione

Francese

Formato

Materiale a stampa

Livello bibliografico

Monografia

Sommario/riassunto

Où est la littérature mondiale ? Parce que son centre n’est nulle part quoique sa circonférence soit dessinée par les limites du monde habité, la question a du sens au-delà de son ironie apparente. Depuis qu’elle a été inventée par Goethe, qui faisait de l’Europe un centre pour la pensée, la littérature mondiale s’est déplacée, étendue, reconfigurée.



Elle a vu émerger d’autres centres et a dû réaménager la cartographie de ses périphéries. Au cœur des Cultural studies dans les pays anglo-saxons, elle n’a jamais fait, en France, l’objet d’une synthèse globale : ce livre est le premier qui propose une réflexion collective sur l’histoire de la notion et ses enjeux dans le monde « globalisé » qui est le nôtre.  Que le fait littéraire ne puisse plus se concevoir dans le cadre étroit des littératures nationales, Goethe et les Romantiques allemands le savaient déjà. Mais la notion fut reprise par Marx et s’est chargée de données plus concrètes. Elle a ensuite été réactualisée par la philologie romane (notamment Auerbach, dont ce volume propose un article inédit en français) puis par Étiemble, Edward Said et, plus récemment encore, Franco Moretti et Pascale Casanova, dont les travaux ont ouvert, de part et d’autre de l’Atlantique, un vaste espace de réflexion, souvent polémique. À quoi sert la notion de littérature mondiale ? Comment en faire bon usage ? Peut-elle nous aider à comprendre ce qu’implique, en termes de pratiques de lecture et d’écriture, la multiplication exponentielle des livres disponibles, la coexistence vertigineuse dans nos bibliothèques des passés et des présents de la littérature ?

2.

Record Nr.

UNINA9910584595503321

Autore

Aldoma Ana

Titolo

Reprise d’études à l’université : quels publics, quelles finalités ? : Groupe de travail sur l’enseignement supérieur (GTES) / / Valérie Canals, Séverine Landrier

Pubbl/distr/stampa

Marseille : , : Céreq, , 2022

Descrizione fisica

1 online resource (182 pages)

Collana

Céreq Échanges, ; 14 , 2554-2346.

Altri autori (Persone)

BeaupèreNathalie

BorrasIsabelle

BosseNathalie

BrézaultManon

CanalsValérie

DorayPierre

LandrierSéverine

ManifetChristelle

MoraVirginie

PetrovitchAdeline

RobertAlexie

Soggetti

Education

trajectoire d’insertion



enseignement supérieur

insertion professionnelle

université

Lingua di pubblicazione

Francese

Formato

Materiale a stampa

Livello bibliografico

Monografia

Sommario/riassunto

Le groupe de travail sur l’enseignement supérieur (GTES) est un réseau d’échanges et de production sur les parcours de formation et d’insertion des étudiant·e·s de l’enseignement supérieur. Il réunit des chargé·e·s d’études du Céreq, des chercheur·e·s et enseignant·e·s chercheur·e·s, des représentant·e·s de l’Observatoire national de la vie étudiante (OVE), des observatoires universitaires et régionaux, des membres de services du MESRI (DGESIP et SIES), de l’agence ERASMUS + France et de l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire (INJEP).  Les dernières journées ont eu lieu à Marseille les 6 et 7 juin 2019. Quatre projets d’ouvrages y ont été présentés dont celui-ci qui porte sur les reprises d’études à l’université. Qui sont ces publics de plus en plus nombreux ? Comment les repérer ? Quelles sont leurs motivations ? Quelle place prend la reprise d’études dans leurs trajectoires personnelle et professionnelle ? S’inscrit-elle comme une deuxième chance, en continuité d’un parcours antérieur ? Est-elle toujours formalisée par un dispositif de formation professionnelle continue ? Autant d’interrogations que les différentes contributions (construites à partir de sources et de méthodes d’analyses différentes) se proposent d’explorer en dressant un portrait de cette catégorie d’étudiants dont l’hétérogénéité des situations et des profils n’est plus à démontrer.