Voici de quoi nourrir l’âme et l’esprit de ceux que la mort de Julien Green, le 13 août 1998, a laissés seuls au cœur du silence. Ils ne manqueront pas de noter que la diversité des sujets des deux colloques ici réunis s’accompagne d’une mystérieuse impression d’unité. Le secret de celle-ci ne serait-il pas dans l’audace d’une œuvre qui, saisie par l’un ou l’autre de ses aspects, dit toujours, grâce à des mises en scène implacables, le plus grave de tous les conflits : celui de l’humain et de l’inhumain ? |