connaissances, selon des agencements différents - jugements publics, pratiques épistémiques, savoir-faire personnel, etc. Celle de l'insertion de l'information dans diverses figures du collectif qui dépendent des coordinations et coopérations en vigueur, conduisant à des représentations communes ou à des connaissances distribuées. Celle, enfin, de l'engagement de systèmes d'information dans des formes de normativité et de gouvernement, via des indicateurs et des classifications statistiques, des qualités normalisées, une saisie informatique locale des activités individuelles. L'examen de ces questions donne corps à une certaine approche sociale et politique de la cognition et de l'information, qui est présentée à partir de travaux internationaux sur l'État, la science, l'organisation, le travail et le jeu. |