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Record Nr.

UNINA9910348245003321

Autore

Bellet Roger

Titolo

Femmes de lettres au xixe siècle : Autour de Louise Colet / / Roger Bellet

Pubbl/distr/stampa

Lyon, : Presses universitaires de Lyon, 2018

ISBN

2-7297-0983-5

Descrizione fisica

1 online resource (320 p.)

Altri autori (Persone)

ColinRené-Pierre

CourtAntoine

CzybaLucette

MarotinFrançois

PichEdgard

SchapiraMarie-Claude

TêtuJean-François

BelletRoger

Disciplina

848/.709

Soggetti

French literature - Women authors - History and criticism

French literature - 19th century - History and criticism

Women and literature - France - History - 19th century

Lingua di pubblicazione

Francese

Formato

Materiale a stampa

Livello bibliografico

Monografia

Nota di contenuto

"Ton image (...) apparaît entre les phrases que je cherche" / Jean-François Tetu -- Flaubert et "la muse," ou, La confrontation de deux mythologies incompatibles / Lucette Czyba -- Peut-on encore lire La servante de Louise Colet? / Marie-Claude Schapira -- Un essai dramatique de Louise Colet, Charlotte Corday / Antoine Court -- La lettre et la formule / Edgard Pich -- Louise Colet : mémoranda (1851-1852) et extraits de la correspondance -- Correspondance adressée à Louise Colet (extraits) -- Poème La femme : 2ème récit, La servante -- Masculin et féminin dans les pseudonymes des femmes de lettres au XIXe siècle / Roger Bellet -- Michelet et les femmes de lettres / François Marotin -- Marie-Louise Gagneur, feuilletoniste : anticléricalisme et fouriérisme / René-Pierre Colin.

Sommario/riassunto

« ... je ne te sais nul gré de faire de beaux vers. Tu les ponds comme



une poule les œufs, sans en avoir conscience (c'est dans ta nature, c'est le bon Dieu qui t'a faite comme ça) ». G. Flaubert à Louise Colet, 18 décembre 1853.  « Ce poème (« La Servante ») est une mauvaise action, et tu en as été punie, car c'est une mauvaise œuvre (...) tu as fait de l'art un déversoir à passions, une espèce de pot-de-chambre où le trop-plein de je ne sais quoi a coulé. Cela ne sent pas bon. Cela sent la haine ». G. Flaubert à Louise Colet, 9-10 janvier 1854.  « Il ne faut se fier aux femmes (en fait de littérature) que pour les choses de la délicatesse et de la nervosité. Mais tout ce qui est vraiment élevé et haut leur échappe (...) En résumé, ne t'en rapporte jamais à ce qu'elles diront d'un livre ». G. Flaubert à Ernest Feydeau, 11 janvier 1859.