1.

Record Nr.

UNINA9910315239403321

Autore

Ansel Yves

Titolo

Stendhal à Cosmopolis : Stendhal et ses langues / / Marie-Rose Corredor

Pubbl/distr/stampa

Grenoble, : UGA Éditions, 2018

ISBN

2-37747-138-2

Descrizione fisica

1 online resource (366 p.)

Altri autori (Persone)

BellSheila

BerthierPhilippe

BordasÉric

ChabanneMarie-Pierre

CorredorMarie-Rose

CrouzetMichel

DenierRenée

EsquierSuzel

GallantJanine

GuérinMichel

GundersenKarin

HammJean-Jacques

JacquelotHélène de

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LabiaJean-Jacques

LaforguePierre

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Mörte AllingAnnika

SantaAngels

SpandriFrancesco

TerroniSandra

ThomasEdwige

WeiandCristof

Soggetti

Language & Linguistics

Literature, Romance

traduction

linguistique

langue

plurilinguisme



Lingua di pubblicazione

Francese

Formato

Materiale a stampa

Livello bibliografico

Monografia

Sommario/riassunto

Stendhal et les langues : le « moi libre » qui « vit à Cosmopolis », formule célèbre de Paul Valery, manifeste un intérêt constant pour les langues vivantes et mortes. Intérêt de « linguiste à Milan », où il participe au débat sur l'évolution de l'italien et sur le rôle des dialectes, attirance précoce pour l'anglais, en avance sur l'anglomanie de son temps, refus ambivalent de l'allemand. Une approche plurielle, où se manifeste la curiosité d'un critique, la véhémence d'un pamphlétaire qui prend appui sur des traits de censeur philologue. La traduction, démarche essentielle du romantisme, est une modalité constante pour Stendhal : écrivant sur « les marges d'un Saint Jérôme », patron des traducteurs, il se confronte sans cesse à l'« épreuve de l'étranger ».  Non pas les langues, mais « ses » langues : des relations polymor­phes d'appropriation et de reconfiguration. S'agit-il de « langages autres » ou de « langues self », du côté de la peinture, cette « langue non souillée par l'usage » ou de la musique, la « lan­gue sacrée » dont le motif est obsédant ? À côté des « sabirs », du « babélisme » constant dans les textes à usage intime, de la « marqueterie d'idiomes », Stendhal aspirerait-il à écrire en « stendhalien » ?