Les ecrans produisent des representations qui nous enferment dans les frontieres de l'illusion. Les frontieres emprisonnent les hommes ecranises et globalises et pourtant les ecrans nous enrichissent aussi considerablement. Question de nature de l'ecran ? Non, question d'usages, donc de mediations et de choix, de politique et d'ethique. Et cela se complique car le probleme est non seulement geopolitique, geoeconomique et geocapitalistique, mais aussi geoculturel, geoartistique et geoesthetique, et surtout geophilosophique. |