1.

Record Nr.

UNINA9910137139403321

Autore

Spruytte Jean

Titolo

Attelages antiques libyens / / Jean Spruytte

Pubbl/distr/stampa

Paris, : Éditions de la Maison des sciences de l’homme, 2016

ISBN

2-7351-1863-0

Descrizione fisica

1 online resource (150 p.)

Altri autori (Persone)

GastMarceau

Soggetti

Rock paintings - Algeria - Tassili-n-Ajjer

Chariots in art

Horses in art

Peinture rupestre - Sahara (Algérie ; Ouest)

Harnais dans l'art

Chars antiques

Harnais - Sahara (Algérie ; Ouest) - Histoire - Antiquité

Tassili-n-Ajjer (Algeria) Antiquities

Sahara (Algérie ; Ouest) Antiquités

Lingua di pubblicazione

Francese

Formato

Materiale a stampa

Livello bibliografico

Monografia

Sommario/riassunto

Cavalier et méhariste dans l’armée, maitre d’attelage diplômé de la Fédération équestre française dans le civil, bricoleur exceptionnellement doué dans ses loisirs Jean Spruytte est l’homme de plusieurs vies. II s’y est acquis un coup d’œil et une sagacité rares. En 1977, ses Études expérimentales sur l’attelage renouvelaient de fond en comble un sujet sur lequel le commandant Lefebvre des Noëttes avait eu le mérite d’attirer l’attention, mais Ie tort d’accumuler les contresens. Aujourd’hui, Jean Spruytte s’attaque à ce qu’on aurait pu appeler Le mystère de la roue de Brooklyn.  Une roue en bois d’une facture insolite, oubliée après bien des vicissitudes dans les réserves d’un musée new-yorkais, Iui permet de proposer une interprétation inattendue des peintures rupestres d’une petite région du Tassili n’Ajjer, dans le Sahara central. Vers le milieu du premier millénaire avant notre ère, la population qui vivait là élevait des chevaux et les dressait



à l’attelage, à l’aide de chars d’une structure simplifiée et allégée au maximum, mais d’une conception fort élaborée. Les chevaux dressés étaient vraisemblablement destinés aux établissements phéniciens de la cote libyenne, d’où venaient également les chars, en pièces détachées. La démonstration d’une rigueur et d’une élégance toutes classiques, fait justice de toutes les élucubrations romanesques qui ont si souvent, dans le domaine de l’art rupestre saharien, tenu lieu de théorie. Ce récit passionnant est aussi une leçon de méthode.