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Record Nr.

UNINA9910136925903321

Autore

Parron-Kontis Isabelle

Titolo

La cathédrale Saint-Pierre en Tarentaise et le groupe épiscopal de Maurienne / / Isabelle Parron-Kontis

Pubbl/distr/stampa

Lyon, : Alpara, 2015

ISBN

2-916125-38-8

Descrizione fisica

1 online resource (156 p.)

Altri autori (Persone)

Palazzo-BertholonBénédicte

ReveyronNicolas

Soggetti

History & Archaeology

charpente

archéologie du bâti

Moyen Âge

restauration

crypte

mortier

enduit

quartier canonial

architecture religieuse

cloître

Lingua di pubblicazione

Francese

Formato

Materiale a stampa

Livello bibliografico

Monografia

Sommario/riassunto

Cet ouvrage reprend l’étude minutieuse et originale qu’Isabelle Parron-Kontis a menée dans le cadre d’un diplôme universitaire sur les cathédrales de Saint-Pierre en Tarentaise et de Saint- Jean Baptiste en Maurienne, ces deux grands édifices religieux de Savoie que l’on pensait jusqu’alors bien connus car déjà étudiés et fouillés aux siècles précédents. Par sa parfaite maîtrise de ce qu’il est aujourd’hui convenu d’appeler « l’archéologie du bâti », puis par la confrontation de ses hypothèses aux possibilités qu’offrent aujourd’hui les sciences exactes comme la dendrochronologie ou les analyses de mortier, l’auteur est parvenu à renouveler totalement les données et les connaissances que



nous avions sur ces deux cathédrales.  Cette étude restera une très belle illustration des possibilités que gardent encore et toujours un édifice qui a beaucoup évolué au cours de son histoire et qui a déjà été fort restauré, pour ne pas dire « raclé », lors de la mode dévastatrice des pierres apparentes. Isabelle Parron-Kontis nous démontre ici de façon magistrale qu’on peut encore faire parler un édifice profondément remanié par une observation fine, et des méthodes de relevés, d’analyses et d’enregistrement pointues adaptées à l’archéologie du bâti. Et c’est plutôt encourageant !  Cet ouvrage démontre enfin qu’il reste de l’intérêt de nos monuments reconnus comme étant « historiques » d’associer étroitement les services de l’État chargés de leur protection et de leur restauration, et plus particulièrement les architectes en chef, aux archéologues du bâti aujourd’hui rompus à ce type de réflexion.