Introduction -- I. [Première partie du Prologue]. Le phoenix de la province, le héros de la cité, a pitié d'un infortuné, le cygne privé de sa compagne. -- II. [Deuxième partie du Prologue]. L'antre du tigre est épié. La perle est saisie et restituée. -- III. La petite sœur aînée Che, dans son audace et sa beauté, échange des fleurs. -- IV. Le jeune kouo, l'esprit asotti, saisit la lune. -- V. Un torrent de droiture, dans sa colère, scandalise le tribunal et s'attire des malheurs en secourant une malheureuse. -- VI. Méprisant la calomnie, l'on transporte un malade, afin de récompenser la générosité par la générosité. -- VII. Le cinquième soir, sans manquer a ses devoirs, elle ose inviter un homme à boire. -- VIII. Pour une parole qui vous irrite, ne retardez pas votre char et partez. -- IX. Un spectre est pincé vainement pour tromper la beauté; mais à la première lune, la beauté rit au point d'asperger tout avec sa boisson. -- X. La fausseté dévoilée au juge provincial épouvante ce magistrat. -- XI. Quand le cœur est bouillant, l'esprit ne peut être en repos. Mais un millier de lis sont difficiles à parcourir. -- XII. Un œil froid bouleverse grandement un festin et achève de provoquer la haine. -- XIII. Prononcer des paroles de refus en repoussant des cadeaux, cela augmente la colère des jaloux. -- XIV. Il sauve un homme condamné à mort et fait connaître un brave. -- XV. Le père et la mère ordonnent, et leur insistance est amère. Les enfants osent s'excuser. -- XVI. L'élégant est saisi dans un vilain piège : il lui est difficile de suivre la doctrine. -- XVII. L'on découvre des sentiments cachés ; ainsi l'on fait connaître le véritable héroïsme. -- XVIII. Quand la clarté est faite, les joyaux parfont leur célébrité : ils |